La lettre de motivation : ce que l’on dit, ce que l’on pense

Petit jeu aujourd’hui de la double écriture de la lettre de motivation. L’idée est simple : d’abord le texte officiel, en dessous, l’expression d’une petite voix intérieure bien cynique… Je précise que c’est juste un jeu, je suis parfois réellement emballée à l’idée de bosser dans un journal ou une boîte.   « Bonjour,   Ayant trouvé votre annonce sur le site jechercheunjob.com, je me permets de vous envoyer ma candidature pour le poste de journaliste. En effet, votre annonce m’intéresse au plus haut point. Enfin, même si c’est pas le cas, j’ai répondu à ton annonce 15 mn après qu’elle soit postée, … Continuer de lire La lettre de motivation : ce que l’on dit, ce que l’on pense

L’éducation sentimentale

Par Summer   vous commencez à en avoir l’habitude, j’aime me poser ici des questions hautement philosophiques. Alors non, il ne s’agit pas du bouquin de Flaubert, ni de la chanson de Maxime donc on ne s’enfuit pas tout de suite, mais plutôt de : comment nos ex nous ont quelque part, formaté à attendre ou espérer de nos futurs, de bonnes ou de mauvaises habitudes. Que se soit dans l’attente ou l’attention demandé à (espéré de ?) l’autre, une chose est sure selon moi, il n’y a pas que l’aspect sociétale qui entre en jeu. Certes c’est un fait indéniable que la société dans laquelle nous … Continuer de lire L’éducation sentimentale

Les hommes parlent des femmes (et disent n’’importe quoi)

Dans la série « entre sexes, on ne se comprend pas », j’ai eu l’occasion de me rendre compte que les hommes fonctionnent comme nous : au cliché. De façon générale, les hommes adorent nous ranger dans des tiroirs : si on est infirmière ou secrétaire, on est cochonnes. Si on a des gros seins, on est cochonne. Si on est blonde, on est cochonne. Si on est brune, on est chaude comme la braise. Si on est rousse, on est sulfureuse. Si on a des lunettes, on est le feu qui couve sous la glace. Si on est instit, on est perverses et … Continuer de lire Les hommes parlent des femmes (et disent n’’importe quoi)