Attend-on trop des fêtes ?

Je le disais l’autre jour, je n’aime pas vraiment le mois de décembre mais j’ai de bonnes raisons pour. Sauf que qui dit décembre dit Noël et nouvel an donc ça me console. Pourtant, on peut légitimement se demander : est-ce que je n’attends pas trop de ces fêtes ? Et quand je dis « je », je devrais dire « la plupart d’entre nous ».   Il y a quelques jours, on m’a confié une dure mission au boulot : trouver sur nos forums des personnes ayant un budget serré ou étant seules à Noël. Si pour les premières, j’ai eu du … Continuer de lire Attend-on trop des fêtes ?

Les fiançailles de l’extrême

Ce week-end, alors que des amazones apparemment hystériques décidaient de tenir tête à l’équipe des hommes sur une île lointaine, je m’apprêtais à vivre mon propre Koh Lanta. Au menu des épreuves : marche en talons hauts et collants (soit « marche sur une patinoire ambulante toute la journée »), messe d’une heure, repas gargantuesque en tenue de gala, nuitées en camping car. Bref, vendredi soir, quand je suis montée dans le train, nonobstant les baisers et les caresses d’encouragement d’Amant chouchou sur le quai (comme c’est romantique), je n’étais guère jouasse. Cramer tout un week-end pour des fiançailles, ça fait un poil chier. … Continuer de lire Les fiançailles de l’extrême

La Condition Humaine est un Snobisme Evanescent

Par Lucas La nana qui est assez cultivationnée pour me trouver d’où sont pompés 6 des 7 mots de ce titre grotesque (mais un peu vrai tout de même) gagnera un diner avec Louka ! Wa la veinaaaarde !! (toi aussi essaye de créer un espoir chez tes lectrices alors que l’espoir il est seulement en toi…) Et venons-en aux fêtes, Il y a quelques semaines, la philosophe des Vingtenaires, La Pythie exilée, Hè, la Sage Ella Sykes, Partie sous de joyeux tropiques, Au Queubeuk libérée, La Grande Ella donc me disait une vérité essentielle. Je la cite sans même … Continuer de lire La Condition Humaine est un Snobisme Evanescent

Donner un sens à sa vie

Par LucasMercredi dernier j’ai diné avec mes parents dans un très bon restaurant chinois, référencé par le guide Michelin (oui, il y avait deux « baguettes »… Bon OK j’arrête l’humour de merde.) Ce qui est intéressant c’est que nous sommes allés là bas parce que mon père voulait fêter un truc. Ce jour là, cela faisait 30 ans qu’il s’était installé à N’enterre Pas Tes Rêves, en tant que médecin spécialiste. Ma sœur et moi on lui a donc demandé ce à quoi il rêvait à 30 ans, il y a 30 ans… Mon père est issu d’un monde ouvrier. Il … Continuer de lire Donner un sens à sa vie

Esclave du dieu hamburger

Par Bobby Depuis quelques jours, j’expérimente un univers quasi réservé au monde estudiantin : les coulisses de MacDonald’s. En effet, je suis préposé aux cuisines en tant qu’esclave du dieu hamburger. Je ne vais pas vous raconter comment ça se passe là-bas, puisque je le fais déjà sur mon blog. Mais je voulais vous parler, tout simplement, du fait de travailler. Bizarrement, ce job a beau être chiant à mourir, depuis que j’y suis, je me sens bien. Déculpabilisé, d’une part, vis à vis de papa-maman qui payent à leur fils chéri un appartement, certes pas bien grand, mais hors … Continuer de lire Esclave du dieu hamburger

Courrier des cœurs, réponse à Alice

Cette semaine, Alice nous a soumis la question suivante : « si on a des fantasmes et potentiellement quelqu’un enclin à les réaliser, est-il dans notre intérêt de le faire? Faut-il réaliser ses fantasmes? » La cellule Love and sex des vingtenaires s’est réunie et voici ce que ça a donné : Diane : Le gros problème de base, avec la réalisation des fantasmes, c’est: est ce qu’une fois réalisés, ils ne vont pas en perdre du coup tout intérêt? L’intérêt n’est-il pas, au final,  davantage dans le fantasme lui même que dans sa réalisation… Mais je pense que le mot « fantasme » est à dissocier … Continuer de lire Courrier des cœurs, réponse à Alice

Et de 28

Aujourd’hui, en ce jour du 6 avril, sacrifions à la tradition annuelle et souhaitons ensemble un joyeux anniversaire à ma personne A 3. 1, 2, 3 : JOYEUX ANNIVERSAIRE MOI !   Alors voilà, une année s’achève et une nouvelle commence. Si je me fie à l’histoire de la vie, en général, il se passe des choses au moment de mon anniversaire. L’an dernier par exemple, ce fut une période très dense. Fin mars, ma grand-mère avait fait son accident cérébral bizarre puis j’avais passé un entretien pour un poste absolument génial mais pas du tout junior donc je n’osais y croire.  La … Continuer de lire Et de 28

Fais moi une place…

 En tant que vieux vingtenaire,  je voudrai écrire trois lignes pour survoler un sujet que Nina a évoqué il y a quelques temps : se caser. Je détèèèèèèèeste ce concept. Dans caser il y a casa et qui dit casa (maison en espagnol) dit sédentaire et qui dit sédentaire dit esprit non aventurier et qui dit non aventurier dit insignifiant. Purée, je viens de vous faire un tel ramassis de clichés et de liens faciles, je viens de vous faire un raisonnement tellement nase qu’on a du perdre au moins 1000 lecteurs par mot : chuis trop fort ! Non mais sans rire… … Continuer de lire Fais moi une place…

Laisse mes mains sur tes hanches !

Par Lucas Cet article est certainement un retour en adolescence mais il y a 10 ans je rentrais en Terminale L alors faut fêter ça ! L’autre jour j’ai invité mon pote Ladislas au resto. Genre, j’ai une vie sociale ; genre j’ai les moyens. En ce moment, entre les arbres(sic.), les cours, le mémoire, les agressions, tout ça, je limite les sorties… Mais là, je me suis fendu d’un petit resto déjeunatoire. C’était aaaach’ment bien. Je vous explique : dans ma Business Cool, Ladislas est un électron libre. C’est un pote et un référent vu que je suis un peu … Continuer de lire Laisse mes mains sur tes hanches !

40 jours, 40 nuits et même plus !

Je vous l’ai annoncé la semaine dernière au détour d’un article : je relance l’opération abstinence active. Ou lesbianisme abstinent ou No more mec in 2007, au choix. J’aime bien donner des noms à mes opérations de vie. Ca fait commando. Bref alors que je décidais ça, j’ai vu un chef d’œuvre du 7ème art appelé « 40 jours et 40 nuits » où le héros décide de ne plus avoir de sexe pour oublier son ex. Ben moi, c’est pour remettre un peu d’ordre là dedans.   Vous vous demandez sans doute pourquoi j’ai décidé ça tout à coup. Ou alors vous vous le … Continuer de lire 40 jours, 40 nuits et même plus !