Ecrit-on mieux en temps de guerre ?
Cette semaine, j’ai entamé la lecture du roman « les deux amis » de Moravia. En fait, il ne s’agit pas tout à fait d’un roman mais de notes que l’écrivain a pris pour un projet de roman qui n’a jamais vu le jour. Là, ces bouts de roman (qui ont fini par dériver pour donner naissance au sublime Le mépris) ont été réunis dans un livre avec une très bonne préface qui parle un peu des tourments de Moravia l’écrivain en temps de guerre qui réfléchit sur la société italienne dans laquelle il évolue. Et là, forcément, ça m’interpelle. Un écrivain … Continuer de lire Ecrit-on mieux en temps de guerre ?