On se retrouve à l’autre bout du monde ?

Sous titre : brunch à Brooklyn. Paris – quelques jours avant mon départ à New York. Entre deux dossiers, j’erre sur Facebook à balayer du regard les derniers updates quand je vois Yohann poster un statut interpellant sa belle-mère. Yohann ? Ah oui, pardon, remettons en contexte. Yohann est le meilleur ami de ma soeur, il a vécu quelques temps chez mes parents suite à un drame familial et il est un peu ce fils que mes parents n’ont jamais eu. Un fils un peu prodigue, qui se rapproche et s’éloigne mais c’est pas juste un pote, quoi. Yohann, je … Continuer de lire On se retrouve à l’autre bout du monde ?

Faut-il draguer… ?

Sous titre : Où trouver l’homme, reload Il y a 4 ans (!!), je lançais une série sur ce blog appelée « où trouver l’homme« . Partant d’une pression matrimoniale relativement fictive (ma soeur ayant eu la gentillesse de se marier ET de tomber en enceinte, autant dire que mes parents ont leur quota de bonheur familio-matrimonial et ont bien compris que moi, j’étais plus douée pour me réjouir du mariage des autres que pour envisager le mien), j’imaginais des histoires de drague gentillettes même si certains hommes en profitaient pour me sacrifier sur l’autel des gentils garçons victimes de sales connasses … Continuer de lire Faut-il draguer… ?

Et si…

Mes trente ans approchant, je vis dans un état de réflexion assez prolongé ces derniers temps. Qui suis-je ? Dans quel état j’erre ? Pour être tout à fait honnête, je suis plutôt sereine à l’approche de ce cap, plus symbolique qu’autre chose mais j’en parlerai le jour J. Il n’empêche qu’à force de réfléchir, je perçois des choses et en premier lieu celle-ci : est-ce que je réfléchirais pas un peu trop ? En tant que bélier, je suis censée être impulsive ce qui n’est pas faux en soi. Je suis parfois trop dans la fuite en avant, dans une recherche perpétuelle et inextinguible d’un mieux. … Continuer de lire Et si…

La terreur de la maternité

Dans la vie, j’ai des phobies, comme tout le monde. J’ai peur de l’avion, des serpents, de finir seule et aigrie comme ma grand-mère paternelle (parce que curieusement, plus t’es aigrie, plus t’es méchante et plus t’es seule), de la mort des gens que j’aime… et de la maternité. Ouais, avoir un bébé, ça me fout la trouille et grave. Première trouille : le déni de grossesse. Etre enceinte sans m’en rendre compte et arriver un jour à l’hôpital avec de supers crampes au bide « Aaaaaaaah, je crois que j’ai l’appendicite ! – Non, mademoiselle, vous êtes en train d’accoucher. – Mais, … Continuer de lire La terreur de la maternité