Racolons un peu, parlons cul !

Article que j’aurais dû écrire cet été comme des milliards d’autres articles mais la vie fait que je ne l’écris que maintenant. Un matin d’été comme un autre, je chemine mollement vers mon boulot, passant devant le kiosque à journaux. Distraitement, je mate les titres : du cul, du cul et encore du cul. Je lève un peu les yeux au ciel : oh les mecs, vous vous êtes foulé sur ce coup là, que d’originalité ! Parler de cul en été, c’est si… si… si je vais pas acheter ça merci. Parce que j’aime pas trop trop quand le … Continuer de lire Racolons un peu, parlons cul !

Gomorra, de Matteo Garrone

Par Bobby Gomorra, c’est un film italien comme on aimerait en voir plus souvent. A travers six personnages, six destins, on entre dans les réseaux de l’enfer de la Camorra, la mafia qui sévit à Naples et s’étend dans toute l’Italie du Sud. Une mafia toute puissante, sur laquelle l’Etat n’a pas d’emprise. C’est elle qui dirige et tire les ficelles : trafic de drogue, textile, recyclage des déchets, banques, guerilla… Tout y passe. Le film traite ce sujet avec un réalisme choc. Les personnages sont empêtrés dans un système inextricable, où le danger menace à chaque instant, où la … Continuer de lire Gomorra, de Matteo Garrone

PETITE PHILOSOPHIE DE LA CONNERIE

Par Lucas J’avais écrit cette bafouille du temps où j’étais président-fondateur-membre unique de l’ADC RMS (Association des Cons de Reims Management School) sur le modèle de l’ADC Sciences Po Paris. J’avais crée 4 autres personnages, complètement fictifs, pour me donner  un peu de légitimité. Pour faire croire que c’était une vraie assoce, que c’était l’œuvre de plusieurs personnes et non le délire futile d’un pauv’mec abonné à jaipasdvie.com. En me faisant racketter mon ordi le 11 novembre j’ai du arrêter mais je comptais organiser plein de concours… à la con mais loin de la futilité lutinante de mon BDE malaimé. … Continuer de lire PETITE PHILOSOPHIE DE LA CONNERIE

Le cri de colère d’une banlieusarde

Lecteur, si tu débarques sur ce blog, laisse moi te dresser mon petit décor quotidien : Plume sur Berges, en proche banlieue de Paris, à 10 mn en train d’une grande gare parisienne, 2 mn en train du terminus d’une ligne de métro (15 minutes à pieds, je marche donc 8 fois moins vite qu’un train en moyenne mais on s’en fout un peu, en fait). Donc sur le papier, Plume sur Berges, c’est un peu l’avantage de Paris sans les inconvénients. Sur le papier, ouais. Donc vous l’aurez noté, pour me déplacer, je confie mon sort à la SNCF/RATP parce que … Continuer de lire Le cri de colère d’une banlieusarde