Un bilan meetic-gé

Deux mois que je me suis effacée de meetic, je peux donc en tirer un bilan objectif et je vous en offre la primeur ! Je vous invite à lire l’article que j’avais écrit sur le sujet à l’époque pour voir si mon opinion a évolué ou pas. Désespérément célibataire  Soirée déprime fin avril. Je m’emmerde chez mes parents, je trafique sur Internet, ne sachant trop quoi faire. Je réfléchis à ma vie sentimentale et c’est la catastrophe : je viens de débarquer dans une région où je ne connais personne, où suis-je censée trouver une moitié d’une nuit ou pour la … Continuer de lire Un bilan meetic-gé

Benoît

Quand j’étais sur meetic, je passais rarement du temps sur le chat, qui fonctionnait très mal. Un soir, cependant, j’y traînais, essayant d’attraper le beau gosse qui passait son temps à me flasher mais ne répondait pas à mon mail. En effet, j’ai appris que quand ils ne payaient pas, ils ne pouvaient consulter leurs messages. Donc j’attendais l’arrivée de mon beau gosse quand des hommes commencent à venir me parler, je réponds poliment à certains. A un moment, un jeune homme engage la conversation, je le trouve pas terrible sur la photo mais il est sympa donc je finis … Continuer de lire Benoît

De la nécessité (ou non) de ne pas coucher le premier soir

En feuilletant mon magazine féminin d’un œil morne, commençant à glisser vers une agréable sieste, je découvris la phrase suivante : « si vous voulez que votre relation dure, ne couchez pas le premier soir ». Pourquoi donc ? Cette phrase mérite réflexion et j’ai cherché à comprendre en quoi c’était mal de s’adonner au plaisir physique dès le premier soir. Flash back : 2 février 2000. Après une semaine à essayer de se trouver un moment tranquille, je ramène ce jeune homme chez moi. Au bout de 10 minutes, nos langues font connaissances et c’est parti pour une séance de pelotage … Continuer de lire De la nécessité (ou non) de ne pas coucher le premier soir

La femme conquérante des années 2000

Il y a quelques années, alors que je me préparais à entrer à la fac (je ne dirais pas quand c’était exactement, la nature féminine est pudique lorsqu’il est question d’âge), j’avais lancé un jour cette expression dans une conversation. En fait, je consolais une copine après une rupture amoureuse. Très inspirée, je lui avais parlé de la fac comme d’un immense supermarché à mecs. Imaginez que sur environ 30 000 étudiants, si on compte à peu près 10 000 hommes (oui, c’était une fac plutôt littéraire), il y en a pour tous les goûts : petit, grand, blond, brun, noir, blanc, jaune, vieux, jeune… … Continuer de lire La femme conquérante des années 2000