Le fanorat est médiocre

En lisant l’autre jour un article sur Lana Del Rey, j’ai découvert une étrange expression “la médiocrité du fanorat”. En gros, les fans ont grosso modo des goûts de merde. La preuve, ils écoutent Justin Bieber en masse et maintenant Lana Del Rey. Et là, j’ai réalisé tout le snobisme du concept, snobisme dans lequel je me suis souvent vautrée. Je l’avoue sans honte, je suis merdophage. J’écoute de la musique commerciale (Lady Gaga, Britney Spears ancienne époque parce que j’aime pas la nouvelle qui abuse de cette voix électronique qui me pète les oreilles, Rihanna, Katy Perry… Mais pas … Continuer de lire Le fanorat est médiocre

La rumeur, le meilleur des buzz ?

Le mois dernier, je lisais mon Technikart et y avait tout un dossier sur la rumeur, notamment politique. C’est assez marrant de voir certaines d’entre elles, genre les multiples amants de Ségolène (ouais, je sais, j’ai ajouté ma pierre à l’édifice hier), les rumeurs du contrat que Cécilia aurait signé pour continuer à figurer aux côtés de Nicolas, la liaison supposée entre Richard Gasquet et Arnaud Lagardère… Bref, la rumeur fait les choux gras d’une certaine presse. Et le bonheur des journalistes qui se savent être dans le secret des Dieux et connaissent le vrai du faux. Ou pas.   Nous avons … Continuer de lire La rumeur, le meilleur des buzz ?

La critique est facile, l’art difficile

Ouvrez un magazine de type généraliste (genre pas la Gazette des Pêcheurs de Loir et Cher). Vous allez remarquer qu’il y a une rubrique incontournable. Non, pas l’horoscope mais l’autre : la critique. Critique musicale, littéraire et /ou surtout critique cinéma. C’est un exercice particulier pour le journaliste, limite un art pour certains, un truc de frustré pour d’autres. Combien de fois accuse-t-on les critiques d’être périmés, aigris, de se venger de ne pas avoir réussi à publier un livre, à être des ratés… Ca se discute.   J’adore les critiques de type destructives, soyons honnêtes. Guy Carlier me fait  vraiment … Continuer de lire La critique est facile, l’art difficile