Par Lucas
Un peu de promotion pour commencer : Singulier Pluriel
Mes gds parents fêtent leurs 60 ans de mariage. 60 ans de mariage heureux. Tout le monde le dit. Parents, proches, amis, connaissances, etc… D’ou ma question : le mariage est il une loterie ?
Je constate aujourd’hui qu’un couple sur 3 divorce dans les 3 ans qui suivent le mariage. Alors est-ce l’institution qu’il faut condamner ?
Ou bien est-ce l’inconstance des « nouveaux » mariés ?
Le fait qu’aujourd’hui on soit plus prompt à se séparer à la moindre anicroche ?
Leur manque de courage face aux aléas de la vie commune ?
Le divorce est-il une fuite ?
Moi, j’aimerais bien avoir une stat : celle des divorcés qui se remettent ensemble apres l’acte de séparation…
Et je pose la question :
La mariage n’est-il pas une sorte de cosmétique ?
Je ne parle pas de la cérémonie mais du lien lui même.
Un couple peut être très très uni sans avoir ce lien moral, ce poids moral du mariage au dessus des épaules. Je serai vachement plus admiratif d’un couple qui passe 50 ans ensemble, sans être marié, plutot qu’un duo qui passe le même temps ensemble, uni par les liens du mariage.
Le mariage impose de se voiler la face, d’accepter une réalité où le bonheur n’est parfois qu’épisodique, épars, en se disant que demain sera un jour meilleur. C’est aussi une bonne raison de chercher des solutions aux problèmes que pose l’autre, de faire des concessions, d’arrondir les angles. Faut-il en déduire alors que les divorces ne viennent que parce que les couples d’aujourd’hui sont plus lâches et moins persévérants que ceux d’hier ?
Perso, de nos jours, je trouve bcp plus intelligent de se marier apres cinq six années de vie commune.
Une fois qu’on a fait le tour de l’autre, qu’on est prêt à s’accomoder de ses pires travers, voire qu’on a suffisamment emmerdé sa compagne pour qu’elle décide tout de même de s’unir, je crois que le mariage est beaucoup plus fort, beaucoup plus intense.
Je ne suis pas croyant mais d’un point de vue religieux ma logique me semble beaucoup plus en phase avec les préceptes de l’Eglise, quelle qu’elle soit. Elle me semble surtout plus en phase avec une honnêteté intellectuelle rigoureuse.
D’un autre coté, j’ai une théorie beaucoup moins séduisante pour les esprits embrigadés par la morale républicaine et/ou religieuse…
Cette théorie ce serait celle d’une vie faite de périodes. Une épouse pour chaque période Car on change… On change du fait des sollicitations extérieures du fait de notre évolution personnelle qui n’est pas nécessairement celle du couple. De fait , entre les deux « mariés », il peut se creuser un fossé, il peut arriver une incohérence totale au bout de quelques années, une perte de ces « valeurs communes » qui les ont incité à s’unir. D’où ma théorie jolie sur le papier du couple épisodique. Un couple pour chaque période.
Je conclus à dessein sur cette note un peu déconcertante, un peu insolite au sens littéral du mot, pour vous inciter à faire des remarques. Mais avant de faire des comm aussi saugrenus et fantasques que mes pensées, refléchissez un peu à ce que je vous raconte, z’allez voir c’est pas si bête que ça.
Et encore un peu de promo pour finir. Oui, Lucas ça rime avec louuuuurd
http://singulierpluriel.over-blog.net/
BOn il est trop tard et du coup j’arrive pas a réfléchir à ce que tu as dit.
Par contre aujourd’hui c’est mon anniversaire. Ben quoi moi aussi je fais de l’auto promotion.
voilà !
bisous
Bon anniversire Tatiana que je n’ai jamais rencontré mais qui oit necessairement être trrrrès jolie avec un prenom pareil (de la quoi ? de la lèche ? meuh noooon…)
Ah bah tiens, je rentre dans les stats alors, moi je n’ai tennu que 2 ans !!!
Je ne suis pas d’accord avec toi, lorsque tu parles d’une femme pour chaque période. Je pense qu’au contraire, la moitié que l’on recherche doit pouvoir tout partager avec nous, et pas seulement certaines périodes de notre vie. Les pires et les mauvais moment il faut pouvoir les partager, si possible avec la même personne et je pense que c’est ça qui renforce les liens 🙂
Je suis absolument d’accord lorsque tu dis que l’on devrait attendre cinq six ans de vie commune, ainsi que lorsque tu te dis plus admiratif devant un couple qui a passé cinquante ans non marié.
Si les taux de divorces ont augmenté par rapport à autrefois c’est qu’il est entré dans les moeurs. Ce n’est pas dû à un manque de courage des époux. Je ne comprends pas ou tu veux en venir quand tu écris que tu es plus en phase avec les préceptes de l’église. Le septième commandement ordonne de ne point commettre l’adultère c’est à dire le sexe hors mariage. C’est un dogme qui est difficile à respecter quand même.
Un genre de CNE pour le mariage… avec une période d’essai de 5 à 6 ans… Ca me plait aussi….
Aussi le mariage n’est pas qu’un « poid moral »… c’est aussi un contrat pouvant permettre certains avantages financiers…
Peu être que les couples aujourd’hui, sans douter des réels sentiments qu’a chacun pour l’autre, se précipite vers le mariage pour bénéficier de ses avantages… ce qui conduit surement à de plus en plus de divorces…
En parlant divorce… ,je ne suis surement pas objectif en tant que enfant de divorcé, mais n’est il pas une formidable arme pour les femmes… Bizarre que les femmes les plus fortunées du monde le sont à la suite d’un divorce avec un milliardaire ou suite à la mort de leur vieux mari plein de fric…. Alors qu’on est censé tendre vers l’égalité des sex non?…
Bon je m’éloigne du sujet…. je vous laisse « m’éditer » la dessus!
Me plaît cet article ! Et pourtant c’est rare que ce genre de truc ne me fasse pas bondir…
Déjà, je crois qu’il y a une confusion sur le mariage. En tous cas, moi je ne le conçois pas comme un « lien », qui nous obligerait à rester en couple envers et contre tout. Ce lien peut exister en dehors du mariage…
Je ne crois pas que les couples aient une durée de vie plus longue hors mariage. Le problème est qu’il est tellement plus facile de tout recommencer que de se battre pour arranger les choses… Croire que tout est fini à la moindre difficulté, croire qu’on n’aime plus parce qu’on a des problèmes passagers…
Et pour une fois, je parle en connaissance de cause : je suis en couple (non mariée, même si ça va venir) depuis 3 ans et demi. Et dernièrement, j’ai trouvé un boulot. Paf, grand bouleversement de vie. C »est le boulot, ça aurait pu être autre chose… Toujours est-il que j’ai eu du mal à assupmer ce changement de priorités… j’ai eu l’impression de ne plus voir que les côtés négatifs de mon couple, les défauts de l’autre, l’impression que je n’avais plus besoin de lui… Et là, je me suis dit que je comprenais pourquoi tant de gens baissaient les bras… mais je n’ai pas voulu, alors je me bats. J’ai tout dit, tout ce que j’avais sur le coeur. Des phrases dures aussi, j’ai dit clairement que si certaines choses continuaient sur cette pente, on allait dans le mur… Jamais je n’avais osé dire ce genre de trucs, ma relation d’avant, j’ai préféré fuir et tout recommencer plutôt que de m’engager sur une pente forcément difficile.
Ce n’est pas parce que je ne suis pas mariée que je ne me sens pas ‘engagée’ dans cette relation. Et pourtant je veux me marier, pas pour les avantages financiers, juste parce que pour moi ça a une signification plus profonde, qui a plus à voir avec l’amour qu’avec la religion.
Mais encore une fois, même pas mariée, je me sentirais engagée et en devoir de me battre pour que mon couple soit heureux (et non pas « survive »).
Puis un mec qui me supporte pendant que je ponds une maîtrise, pendant que je déprime au chômage, et qui reste alors qu’en ce moment je suis invivable… ça en vaut ptetre la peine 😉
Je vais peut être sembler vieux jeu, mais… et l’amour dans tout ça ? Ouais j’suis rien qu’une romantique à deux balles. Mais le taux de divorce n’est-il pas élevé du fait qu’on s’imagine toujours être amoureux, alors que ce n’est au plus qu’une réaction chimique du cerveau. Là je parle de l’amour, du vrai, celui qui rime avec toujours, et blablabla… Oui c’est niais. Mais il se trouve que j’ai la chance d’avoir grandi avec cet exemple là, ce qui me pousse peut être à y croire plus que d’autres, et surtout à ne pas m’embarquer autant que les autres (ouais ça fait 3 mois qu’on est ensemble, on s’aime tu vois… mouais).
La vie commune, c’est tout de même plus qu’un partage de salle de bain, ça implique une putain d’intimité, une vraie confiance, un réel investissement – et pas parce qu’il FAUT faire des compromis mais parce que s’inverstir pour/dans l’autre c’est naturel. Mes parents s’aiment depuis 50 ans, ils vont fêter leur 25 ans de mariage. Ils ont traversé des trucs insensés avant de pouvoir se marier. Ils ont traversé des trucs incroyables depuis qu’ils sont mariés, et ils en traverseront d’autres. Mes grands-parents s’aimaient, et PARCE QU’ils s’aimaient leur couple a tenu bon malgré l’infidélité de l’un et l’indépendance chronique de l’autre… 50 ans de fidélité à la mémoire d’un époux parti trop tôt, ça c’est de l’amour aussi à mes yeux.
Alors peut-être que si on cessé de galvauder la noblesse de sentiments purs, alors seulement les mariages tiendraient, quelque soit la période que l’on traverse.
Bon, après je concluerai simplement par : de toute façon, le mariage ça craint.
Suis entierement d’accord avec ton idée de se marier qu’apres 5 ou 6 ans de vie commune!
D’autant que j’ai lu un sondage ce matin où 70% des hommes avouent ne plus faire d’effort pour les taches ménagères une fois mariés nan mais!
d’accord avec Solong ! enfin seulement sur la derniere phrase.
Qu’elle est l’utilité du mariage ?
-une preuve d’amour : si le fait d’aller dans une eglise ou devant le maire est une preuve qu’on m’explique en quoi ?
Personnelement je pense qu’il est plus difficile de rester en couple dans un mariage car en plus des inevitables problemes qui se poseront un jour, il y a le poids d’un contrat.(et moi j’ai un reflexe pueril fasse aux obligations la fuite).
Quand à l’amour ça n’a rien à voir avec le mariage ? si ? ah bon …
Alors, une raison pour laquelle les divorces ont grimpés en flèche ces dernières décennies?
L’indépendance des femmes!
Faut pas croire que avant l’harmonie régnait entre les couples et qu’il n’y avait pas autant, si ce n’est plus de désespoir et de désaccords amoureux. Seulement, vu que les femmes ne travaillaient pas, elles y réfléchissaient à deux fois avant de mettre les voiles, ne pouvant pas s’assumer toutes seules financièrement, et jvous parle pas des gosses, ni de la répercussion sociale. (mauvaise épouse, mauvaise mère blablabla…)
Par conséquent, ayant les moyens de le faire, les couples ont plus tendance à choisir la facilité et à fuir au moindre coup de trafalgar. D’autant plus que, vu la multiplicité de moyens nouveaux qui s’offrent à nous de faire des rencontres (internet en chef de file, clubs de sport, voire même métro parisien!), ce n’est plus difficile de rencontrer les gens, on a plus de choix, et donc on hésite moins à en quitter un(e) pour en trouver un(e) autre.
Et voui, vive la société de consommation, ça fait peur mais nous sommes tombés dans une perspective consumériste relationnelle.
On évalue, on choisit, on trie. (on organise des concours pour en trouver une…hem hem…) Alors je ne nie pas que ça ait certains avantages, c’est indéniable, mais, à mon humble avis, il faut faire attention aux dérives.
Secondable, sous l’influence certaine des films hollywoodiens, des séries teenagers et de ce bougre de Shakespeare (+ jane austen), on a tendance, même si ce n’est pas vraiment nouveau, à se chercher une moitié qui renifle le cliché du prince/de la princesse à des kilomètres, que ce soit un beau mâle viril qui fait de la poésie ET se bat contre les méchants pour défendre sa dulcinée tout en jouant du saxophone comme un dieu, ou une fille magnifique et éthérée, aux yeux de chats enjoleurs et à la peau satinée qui sent la canelle, qui sait se rendre innacessible et être à la fois spirituelle, tenace et un brin naïve.
Bref, ce qui fait qu’on a pas fini de chercher parce que ces choses là sont très bien, mais juste pour faire plaisir à notre imaginaire, et que un couple qui marche, c’est avant tout des valeurs humaines partagées et une putain de bordel de tolérance.
Parce que l’amûûûr genre Astrée et Céladon (=mièvro-romantico-éternel), ça dure le temps que vos hormones se déchainent dans le cerveau, et pif pouf, un jour, c fini. Ce pourquoi tant et tant de couples se séparent avec l’impression étrange de se retrouver devant un inconnu.
Et enfin, 50 ans de vie commune, avec ou sans mariage, je vois pas vraiment la différence, surtout de nos jours, c’est dans la tête tout ça. C’est aussi balèze d’un côté comme de l’autre, sauf que d’un côté, on a la pièce montée et la belle robe.
Je ne pense pas que le mariage soit un pacte d’assurance sur l’avenir, du moins il ne l’est plus, la preuve: le nombre de divorces. En revanche, le mariage est pour moi un acte d’amour, et savoir que cet acte peut se perpétuer 60 ans apres je trouve cela beau tout simplement.
Ensuite je me pose une question: est ce vraiment de la lacheté de apartir quand ca ne va plus. Je veux dire, reconnaitre que ca ne va pas et agir en consequence demande quelque fois plus de courage que de ne rien faire. Franchement, combien de fois j’ai pu me demandé en parlant avec des copines qui ont des relations longues, mais comment peut elle rester avec ce type? la réponse est souvent celle ci: j’ai pas envie de me retrouver seule. Désolant hein? beaucoup de personne n’aime pas realiser l’echec et persevere pour se prouver le contraire. Pour ma part, c’est ca que je considere comme lache.
Wahou !! Plein de comm intelleigents sur mon article ! La vache je suis comblé ! Et ravi que le débat ait lieu ! Désolé de ne pas vous repondre un par un mais je l’avoue : j’ai grave la flemme. Ces deux journées de test à l’Hosto m’ont liquidé.
Mais encore une fois, merci de donner des avis et de faire des developpements aussi pertinents !
@solong: « que ce n’est au plus qu’une réaction chimique du cerveau »
parce que c’est pas le cas de tous les sentiments?
On a quand même ommis le plus important :
Félicitations Pépé et Mémé Lucas pour ses 60 ans d’amour !!!
C’est beau, et tellement rare aujourd’hui …
Il paraît que l’amour chimique dure trois ans. Ce qui fait que les sentiments perdurent c’est qu’on les entretient. Cela demande pas mal de courage mine de rien. Je viens tout juste de rompre au bout de trois ans et maintenant que je me suis « dévoilée » la face, je suis plus à même de pouvoir répondre à cette question.
Oui, vouloir s’accrocher à l’autre à tout prix est signe de lâcheté, mais en même temps pas tant que ça. On se voile la face, mais c’est aussi une manière de se protéger. On veut croire que cette histoire marchera alors on persiste à faire des efforts. Et bien sûr quand on chute, on se fait mal. Mais est-ce obligé de chuter ? Je ne pense pas. On ne chute que si les efforts sont faits que d’un seul côté. Malheureusement, c’est bien souvent le cas. C’est peut-être pour cela qu’il y a autant de divorces. L’amour s’entretient sur le long terme, et si on n’y met pas un peu du sien, forcément tout se casse la gueule.
Après, je pense aussi que le mariage ne sert à rien. Pour moi c’est plus une contrainte de plus qu’une preuve d’amour. Depuis quand appartient-on à une personne exclusivement ? Pour moi c’est ce que sous-entend le mariage. Je trouve cela débile. On évolue tout le temps, on change de manière de percevoir l’autre et par conséquent, on l’aime différemment. Suite à cela, comment peut-on demander à l’autre d’être toujours fidèle ? Ce serait comme lui interdire d’être humain.
Le mariage ne sert a rien ??
Je suis bien d’accord qu’on change avec le temps, et qu’il est devenu a peu pres impossible de passer sa vie entiere avec la meme personne.
Mais si le mariage garde une utilité, c’est quand même de créer un « contrat moral » pour un foyer stable autour des enfants…
Moi je n’ai rien contre les theories qui justifient le changement de partenaire à volonté, mais quand il y a des enfants en jeu, ca change pas mal la reflexion.
Juste une idée de comparaison comme ça. Si on trouve que s’engager devant les autres à aimer quelqu’un dévalorise l’acte d’aimer, ne peut-on pas dire la même chose de tout ce qui est « convention »?
Le contrat de travail dévalorise le travail parce qu’on ne se bat pas pour son job mais qu’on s’est engagé à le remplir et l’autre à ne pas nous virer n’importe comment; les lois relatives à l’éducation de ses enfants dévalorisent les efforts des parents dans la mesure où ils les éduqueraient même sans lois; celles relatives à la propriété dévalorisent l’effort que les autres font pour ne pas y planter leurs légumes, etc.
Une convention est cela et rien d’autre, et j’ai du mal à comprendre en quoi une consécration – plus exactement un engagement à des efforts qui dépassent les tout petites que l’on est susceptible lorsqu’on est fatigué, et triste, un engagement à cela parce qu’à la fois on se sait faible, et on se veut forts – dévalorise quoi que ce soit; il ne dévalorise pas mais consacre de petits efforts; et en constitue elle-même un mille fois plus grand, qui est précisément de dire qu’on ne veut même pas se passer les moments de faiblesse, mais être tout entier: « grand ».
On peut bien sûr rêver un monde sans convention, où les efforts seraient de chaque instant, et on laisserait chacun, y compris soi, absolument libre de tout ; mais l’expérience prouve que ce monde est en fait un monde sans liberté du tout; car un monde sans convention est un monde sans liberté. Et aussi un monde où l’on fait très très peu d’efforts, et où le moindre bonheur exige de soulever des montagnes, de la souffrance, de la douleur, et de la tragédie. Des tragédies sérieuses, je ne plaisante pas. Ce monde serait simplement celui de la misère et celui de la barbarie.
Quant à dire qu’il n’y a pas de convention, c’est-à-dire pas d’habitude, pas « monde pré-théorique » qui paraît aller de soi (pour parler un peu technique) dans un couple qui existe depuis cinquante ans, c’est une blague. Il y a une convention et cette convention peut être bien plus forte qu’un mariage en bonne et due forme. Un mariage c’est juste quelque chose que l’on peut vouloir pour se grandir, comme on se grandit chaque fois que l’on s’engage dans une vie.
Ah oui, juste quelque chose qui me vient à l’esprit en lisant un mél d’une demoiselle. Quelque chose qu’on se demande pas vraiment sérieusement, et qui le mériterait à mon sens, c’est pourquoi la très grande majorité des divorces sont demandés par les femmes et pas par les hommes? C’est drôle puisque l’imagerie populaire veut que ce soit l’homme qui trompe la femme et pas l’inverse. (si, si)
On pourrait comparer l’étude avec le fait, à mon avis probable, – mais ça je n’en suis pas sûr parce que c’est presque invérifiable – que ce sont plus les filles que les hommes qui demandent le mariage à leur conjoint.