Il était une fois une jeune fille de 25 ans, pleine d’espoir en la vie et belle comme le jour… Non, je plaisante ! Il était donc une fois moi, une fille de 25 ans qui avait la lose, mais à un point inimaginable. En fait, cette fille alterne chance et malchance à une vitesse incroyable, si bien qu’une belle histoire peut se transformer en catastrophe.
Dimanche soir, je me couche, totalement enrhumée. Je pleure du nez, j’ai chaud, ça ne va pas du tout. Lundi, pareil, mardi, pas mieux. Mercredi matin, je me sens un peu mieux. 11 h, téléphone : je suis réveillée mais je paresse au lit. Au bout du fil, Bouc et Moustache : « je te réveille ? ». Bon, on discute un peu puis il m’annonce : « pour le boulot, tu vas être convoquée bientôt, tiens toi prête ! ». Oui car Bouki quitte son poste et à qui il a pensé pour lui succéder ? A moi, of course (bon, il a aussi pensé à Helmut Perchu, un de ses fans assidus et néanmoins ami) ! Mercredi soir, alors que j’écris des articles pour un webzine (même pas pour mon blog !), téléphone à nouveau, je reconnais le numéro de Bouki.
« Tu fais quoi, ce soir ? me demande-t-il.
– Rien de spécial, j’ai des articles à écrire.
– Bon et tu fais quoi demain ? Ça te dit une brouette ? [non, je plaisante, il n’a pas dit la dernière phrase]
– Heu rien.
– Bon, à 17h15, tu es attendue à la mairie de Ste Agathe des Chemins pour ton entretien. »
Oh, Seigneur ! Je raccroche et prudente, je cherche comment me rendre à la mairie de Ste Agathe des Chemins [ça n’existe pas en vrai, ne cherchez pas !]. Et là, le cauchemar : la RATP ne connaît pas cette ville et refuse de me dire comment m’y rendre. Je passe donc deux heures à trouver un trajet, secondé par mon adorable Guillaume qui sentait que je commençais à paniquer. Bon, je finis par trouver un trajet : train n°1, train n°2, bus. 1h20 de transports, tout va bien, je gère. Le souci majeur, c’est que je ne me sens pas au top de ma forme avec mon foutu rhume, j’ai peur que ça me desserve un peu. Surtout que Bouki m’a honnêtement précisé que je serai en concurrence avec Helmut Perchu dont je ne connais absolument pas le parcours mais, curieusement, de savoir que nous ne sommes que deux sur le poste, ça me fout un stress terrible surtout que je te rappelle, lecteur, que je n’ai jamais eu d’expérience en tant que salariée.
Jeudi matin, je me lève (et ne bouscule personne, comme d’habitude), je travaille sur mon press book en matant les maternelles, en attendant qu’on me livre mon bureau. Le bureau arrive, mon press book est prêt, je mets en page mes articles pour mon webzine. Je suis au point ! Je fouille sur le site de Plume sur Berges pour trouver les bulletins municipaux, je prends des notes : je suis parée ! Une petite douche, un peu de parfum et de maquillage, je suis au top !
15h43, je quitte mon appart : le train est à 15h48, tout va bien. Arrivée sur le quai à 15h45, mon sang se glace : j’ai oublié mon press book ! Je cours chez moi, je le récupère mais drame : quand je ressors, le train est déjà à quai. Même en courant, je ne l’aurai pas. Je fonce à la deuxième gare à pied, train n°2 est à 15h59, j’y arrive à 16h02… Bon, c’est la panique totale, le prochain train passe une demi heure plus tard. Il est hors de question d’arriver en retard donc aux grands mots, les grands remèdes, je décide de prendre un taxi. Oui, je suis fauchée mais c’est pas grave, je n’ai plus le choix.
Je trouve une station de taxi et monte dans le premier qui se présente. Je me pose et déjà, premier constat : ma ceinture ne marche pas.
« Vous pouvez me conduire à Ste Agathe des Chemins dans le ** ?
– C’est où ?
– Pas loin de Sainte-Hortense les Foins.
– Ah, d’accord ! ».
Bon, confiante, je m’enfonce dans le siège. Il est 16h10, une heure pour rejoindre la mairie, c’est jouable. Le mec démarre et là, je commence à douter : tandis qu’il conduit de la main gauche (menaçant les ailes de toutes les voitures à nos côtés), il fouille sur un plan de la droite. Finalement, au bout de dix minutes, il se gare et appelle un ami pour lui demander le chemin. Car évidemment, il n’a pas de GPS. Je sais pas pourquoi, je le sens mal.
On se retrouve sur une nationale, le temps défile et je commence à angoisser, dans ma tête, sublime dialogue :
« Pas de panique, ça va aller
– Non, tu n’y seras jamais, c’est pas possible ! »
Stressée, je décide de partager mon angoisse avec Guillaume (charmante que je suis). Le trafic est dense mais fluide, ça va aller, j’aurai même le temps de me fumer une cigarette avant l’entretien. 16h45… Le monsieur recommence à regarder son plan, c’est plutôt mauvais signe, il me semble… 16h55, je lui demande d’une voix tremblante : « on est bientôt arrivés ? Non parce que j’ai un rendez-vous très important à 17h15… » Bon, non, on n’y sera pas. J’appelle donc Bouki qui me demande où on est et quand je lui explique, il me fait : « mais comment t’as fait pour te retrouver là ?
– Ben j’ai pris le taxi.
– Mais en partant d’où ?
– De chez moi…
– Ah, intéressant ! ».
S’ensuit une belle balade en campagne, je suis désespérée : voilà, je suis en retard. Je harcèle le pauvre Guillaume de textos : « Le chauffeur de taxi est perdu, je vais me pendre », « comment perdre 100 euros et un boulot dans la même journée par Nina. J’ai envie de pleurer ». Parce que, franchement, j’ai très envie de pleurer : je suis tombé sur le seul chauffeur de taxi qui ne sait pas lire une carte ! Ça ne pouvait arriver qu’à moi, tiens ! Donc je prends une résolution : je vais à mon entretien et une fois rentrée chez moi, je pleure toutes les larmes de mon corps. Mais pas avant, ça ne le fait pas de se présenter avec du maquillage dégoulinant.
Le chauffeur de taxi, sentant mon angoisse, me fait poliment : « Ne vous inquiétez pas pour le prix, hein !
– C’est pas pour le prix que je m’inquiète mais pour le boulot que je viens de rater ! ». Bon, il m’a dit ça sans doute parce qu’il avait vu que j’avais recopié sa plaque sur un papier… Enfin, à 18h, on arrive sur place mais comme je suis très en retard, Helmut doit passer avant moi. Le monsieur du taxi me fait une ristourne de près de 25 euros (je paie quand même 70 euros), je cours à la mairie.Je fume une clope à une vitesse hallucinante et je monte à l’étage, m’installant dans les confortables sièges. Après avoir lu deux, trois articles pour mon webzine, je me plonge avec délectation dans la lecture de 1984 d’Orwell, en attendant.
Enfin, c’es mon tour, je discute deux minutes avec Helmut que je ne connaissais pas encore puis je rentre dans la petite salle, j’ai face à moi quatre personnes : deux personnes je me souviens plus qui c’est, le maire et Bouki, donc. C’est mon premier entretien pour un boulot et ça me rassure un peu d’avoir un ami dans le lot. Bon, je me vends comme je peux avec ma voix nasillarde, je démonte à peu près 800 fois mon stylo en un quart d’heure (oui, faut toujours que je tripote un truc, même quand je suis calme), je montre que j’ai bossé mon entretien en parlant du journal, je mets en avant mon expérience dans un journal local. A un moment, question qui tue : « quelle est votre principale qualité et votre principal défaut ? me demande le maire.
– Heu… Défaut : je suis impatiente ! Qualité…hum… je pense que je suis conciliante. Ah et je suis curieuse, c’est pour ça que j’ai voulu faire du journalisme » et me voilà partie sur un laïus sur ma vocation, l’envie de toujours apprendre, de faire des rencontres…
Fin de l’entretien, je sors discuter un peu avec Helmut et je lui montre mon press book puis Bouki arrive et nous traîne au bar. Là, je m’offre un Blue Lagoon parce que je l’ai vraiment mérité ! On discute, Bouki regarde un peu mon press book et découvre en avant-première mon interview de Nicolin pour Over Blog. Il me dit que je devrais faire attention à cacher un peu mes tremblements (oui, c’est naturel chez moi alors si on rajoute le facteur stress, ça fait limite Parkinson) et de pas jouer avec mon stylo quand je parle. On repart ensuite à la gare, Bouki me suit jusqu’à ma gare car il prépare un nouveau billet rose. En trajet, on discute un peu, je commence à lui raconter que je suis dégoûtée par cette histoire de taxi et par ma maladie qui fait que je n’ai pas été au top pour mon premier entretien. A un moment, il est un peu inquiet car mes yeux brillent et mes joues sont rouges mais je me sens pas particulièrement émue donc c’est soit l’alcool, soit un accès de fièvre (au choix).
On se quitte à la gare (hé oui, ce n’est pas moi le billet rose), je rentre tranquillement chez moi et là, la lose continue. Je prends mon courrier, j’enfonce la clé dans la serrure, je pousse et je ne peux ouvrir la porte que de quelques centimètres : que se passe-t-il ? Je regarde par terre, pensant que Kenya avait fait quelque chose et, là, sueur froide : cette andouille a réussi à bloquer la porte avec une tige en métal qui sert de verrou intérieur ! Oui, vous savez, les tiges en métal qui enserrent un clou et qui permettent d’ouvrir la porte de quelques centimètres sans que l’intrus puisse entrer… Ben ma chatte est super intelligente, elle a réussi à la mettre toute seule. Je m’escrime un peu, impossible d’ouvrir la porte. Je referme le battant et j’appelle Guillaume, totalement désemparée et au bord de la crise de larme. A peine a-t-il décroché que j’entend un grincement particulier : Kenya a enlevé la tige ! Non parce que ma dernière option était casser un carreau et passer par la fenêtre… Je rappelle à mon lectorat que nous sommes presque en hiver, il fait froid…
Et puis pour en rajouter encore un peu, hier soir, j’ouvre une lettre de mes parents qu’ils me disent qu’ils m’aiment et que je dois m’accrocher pour réaliser mon rêve. Ben, là non plus, j’ai pas pleuré mais c’était vraiment pas loin… Faut vraiment que j’apprenne à ouvrir les vannes quand c’est nécessaire…
Je finis donc la journée sur les rotules, j’en peux plus, j’ai évité trois crises de larmes in extremis… Tout ça pour quoi ? Ben, pour ne pas avoir le poste. Motifs invoqués : j’habite trop loin et Helmut a plus d’expérience que moi. L’histoire ne dira pas si la distance avait joué contre moi si j’étais arrivée à l’heure. Toujours est-il que je vois le positif de la situation : c’était mon premier entretien pour un boulot et c’est toujours ça de gagné. En plus, Bouki m’a dit ce que je devais améliorer, je vais en prendre note. En attendant, aujourd’hui, j’ai réaménage mon appart !
Preums!!
Bin vi je suis toujours tes aventures avec avidité,et..compassion pour ce fucking day!Sinon bin bon courage pour la suite et continue a écrire c’est vrément trop bien!
mais accroche toi…ca va aller
« oui, faut toujours que je tripote un truc, même quand je suis calme »
j’aime bien cette phrase
Rien n’est joué ma belle. Accroche-toi, ne perds pas courage, et oui, lache les vannes de temps en temps, ça ne peut pas faire de mal…
Accroche-toi ma belle, on est tous avec toi.
Et si une petite brouette peut t’aider à tenir le coup, lâche-toi !! 😀
N’empeche que Nina vous raconte pas ce qu’elle a fait mercredi et jeudi soir en attendant…ah ah ah…bref…je suis fatigué moi c’est impressionant…!
Je voulais te faire part de toute ma compassion après une journée aussi pénible.
J’aimerais bien être celui qui t’attend chez toi pour te consoler après une telle journée.
Guillaume, Guillaume, mais qu’est ce qu’il a de plus que moi ???
toute mes condoléances pour ce boulot perdu trop tot…
Il avait de l’avenir, à son échelle; il t’aurait fait gravir une à une les marches de la vie médiocre d’un obscur journal de banlieu, tu aurais pu acheter à crédit ce petit pavillon de trois pièces le long de la voie ferrée ( trafic 1train/minute) et y mettre tes chats, seuls compagnons fidèles après cet exil au dela de la ligne (périphèrique) qui sépare la culture de l’obscur…
bon, je m’arrete là, sinon tu va pleurer ET déprimer!!
Quand on me raconte une histoire comme ça , normalement je prends la personne dans mes bras, je lui carresse la joue et d’une voix tendre je lui parle doucement. mais là c pas possible, alors je vais juste te faire un énorme bisou que tu placeras où tu veux.
Bidou
Non tu ne fais pas pitié, mais c’est normal que l’on t’exprime notre affection à toi qui nous donne bcp.
« Mais ça va mieux, ce soir. » 🙂
Bon we ma belle
arf et un bidou ça se met pas sur la joue 😉
Oui, bon, forcément le coup du taximan qui ne sait pas lire une carte, c’est pas de chance…
Mais regarde, comme le dit judicieusement gloups (un grand homme, ce gloups), ce job n’était peut être pas fait pour toi, ne serait ce que pour la distance… bon, c’aurait été une première expérience, certes, mais tout de même…
Mais alors une chose que je ne comprends pas, que je ne pige pas, que je… enfin bref, NON, Guillaume n’est pas le plus beau ! Prends Jul, par exemple, et ben je suis sûr qu’il est mieux (sauf si, lui aussi, est roux). Et bien qu’il soit ton brouetteur attitré, ca ne change rien. Na !
Un chat de garde!! Grande classe!
Maintenant tu peux lui apprendre à faire le ménage la vaisselle la lessive etc.
J’ai essayé avec mon yucca mais même pour lui faire mettre une « tige » c’est pas possible donc pour le reste on va attendre un peu.
Sinon pas glop la journée, mais d’ici quelques temps t’en rira aux larmes en la racontant 🙂
J’ai bien aimé aussi les bouki, helmut et le nom des patelins 😀
Bonsoir Nina… au moins cette expérience t’a permis de faire un bel article…
Le bon côté aussi, c’est qu’aussi bien Helmut que toi faisiez l’affaire… ça doit donner confiance…
Allez, la prochaine tentative ser la bonne
Bouki
Le problème, quand tu ne connais pas le taxi, ou du moins la compagnie ou l’association de taxis associés, et en particulier quand tu n’as pas l’habitude d’en prendre, c’est qu’on tombe nécessairement sur un pauvre gland qui n’y comprend rien. Et par ailleurs, prendre le taxi aux heures de sortie de bureau, ça n’a jamais été idéal. Mieux vaut demander combien de temps cela prend lorsqu’on a un rendez-vous urgent.
Enfin, ça t’aura fait une expérience, tu sais ce que tu peux améliorer la prochaine fois ! Potasse un peu un bouquin ou un site d’embauche sur les conseils en matière d’entretien et fais-toi faire des simulations d’embauche par un ou des amis critiques. Ça t’aidera.
ben j’attend la suite des préliminaires alors…!!
tres joli article au bravo
jai adoré
Salut !
Bon eh bien j’ai lu, j’ai beaucoup rit en lisant le passage avec le chat (bah ouais, ça devait pas être drôle pour toi, mais moi, savoir que le chat a mit la sécurité de la porte, ça m’a beaucoup amusé !), et j’ai eut quelques pincements au coeur en lisant tes déboires.
Que dire, que dire ? Le coup du Taxi, c’est pas de la Loose, c’est de l’incompétence notoire. J’ose espèrer que tu vas te plaindre auprès de son employeur, car si y’a un moyen pour toi de te défouler, c’est bien celui-là !
Quoi d’autres. Le retard, c’est la suite. En retard à un entretien, c’est jamais bon. Mais la vérité, c’est que le risque de retard augmente grandement sans voiture, tout simplement. C’était fatal, il aurait mieux valu que tu trouves quelqu’un d’autre qu’un taxi pour t’emmener, et ce trééééés en avance. T’as pas pensé à y aller avec beaucoup d’avance ? Genre 2 heures avant, et tu patientes au café ?
Pour le chat, tu veux prendre une photo de la tige sur la porte en question, et éventuellement de ce qui lui a permit de l’atteindre ? Parce que sérieux, je comprends pas…
Pour finir, voilà ce que j’ai à te dire. La plupart du temps, on rate le 1er entretien. T’imagines pas combien je m’en suis voulu d’avoir sabordé mon entretien à la banque (« je veux pas voler les gens ») alors qu’il me semble que j’avais jusqu’alors fait un plutôt bonne impression.
Alors dis-toi simplement que ce job, qu’il soit ou pas fait pour toi, t’étais peut-être trés difficilement accessible. Retiens les erreurs que tu as commis (aucune des personnes avec qui j’ai passé jadis des entretiens ne m’ont conseillé !), rappelle-toi de prendre le taxi plus tôt, rappelle-toi la tête du chauffeur pour le fuir si tu le revois, et surtout, Nina, surtout, putain… GARDE ESPOIR ! On est Tout le monde a te le dire ici Nina, et crois-moi t’as une vrai plume dans ta main, pas un crayon à papier (< - tentative de parabole pour dire que j'aime ta façon décrire lol c'était comment ?) alors forcément, tu finiras par t'en sortir et trouver ta voie... ou plutôt l'opportunité qui te manque jusqu'à présent. Car ce n’est que ça : un manque d’opportunité. Oublie la loose, je crois qu’y croire l’attire. En tout cas je continue de croiser les doigts pour toi. Thom… un peu ému, en fait…
ps : promis, je me suicide pas à la fin du message !
ah j’attends avec impatience la suite !!!
(pour l’instant ça me rappelle l’histoire de l’eunuque décapité…
http://sororimmonde.over-blog.com/article-1313305.html )
Ca c’est vraiment un jour sans…Vivement demain comme on dit 😉
Même si t’étais arivée à l’heure, en région Parisienne, deux trains et un bus, c’est trois facteurs de retard potentiel. Donc pour un employeur, c’est pas bon.
>Jeudi matin, je me lève (et ne bouscule personne, comme d’habitude),
Ce n’est pas une référence de vingtenaire cela ?
Sinon, coool, il faut avoir plusieurs entretien pour commencer à s’améliorer pour pouvoir, le jour du job visé, être bonne.
Tente d’avoir plein d’entretien, quitte à refuser des places, pour des jobs qui te tente moyen, tu t’amélioreras…
L’Papy
Ah ben ça c’est de la journée lose ou je ne m’y connait pas! 😮
Mais c’est pas dès le premier entretien qu’on décroche un job (enfin c’est très rare) et puis toute expérience est bonne à prendre…
Je te dirais juste pour conclure et te remonter le moral (même si je sais que ce week end il devrait etre bon) « Après la pluie vient le beau temps! »
Courage pour ta recherche de job et bonnes brouettes! ;p
pffff…
c’était ça ?
tu m’aurais demandé, tu économisais 70 euros et tu étais à l’heure. Je connais pas toute la RP, mais là…
Nounouille, va.
Réjouis-toi,tu aurais pu tomber sur Sami Naceri
Hem si mon chat avait bloqué la porte, après une journée aussi fatigante, je crois que je l’aurai viré sur le palier quelques heures afin qu’il comprenne:
– Ce que ça fait d’etre enfermé en dehors de chez soi
– Qui commande.
« Non, je plaisante » : pourquoi?! Tu n’as pas 25!? ;P
« Je pleure du nez » : bien trouvé! 🙂
« je nai jamais eu dexpérience en tant que salariée » : c’est çà le dur, trouver son premier boulot. Toute les boites veulent 5 ans d’expérience, minimum.
« et ne bouscule personne, comme dhabitude » : » … danc ce grand lit froid, comme dhabitude » jolie chanson. 🙂
« Je sais pas pourquoi, je le sens mal » : pas de bol en effet.
« faut toujours que je tripote un truc, même quand je suis calme » : c’est Nico qui doit être content. ;P
« parce qu’à force de cumuler, je finis par fondre en larmes pour un ongle pété » : c’est vrai, qu’on finit par craquer à un moment ou à un autre.
Thom > » Parce que sérieux, je comprends pas » : c’est le chat qui a bloquer et débloquer la porte. 🙂
Nico semble arriver à te consoler. Il n’y a pas d’article aujourdh’ui. 🙂
gnocchi du matin…
Ah oui, c’est vrai que ce WE, Nina a eut de la visite ! J’avais oublié ! C’est que, ne voyant pas d’article ni de récents commentaires de sa part, je commençais à m’inquiêter, moi !
Stef : Ah merci, maintenant je comprends beaucoup mieux mdr Heureusement que tu étais là, quand même ! lol
Thom…
Thom > « Heureusement que tu étais là » : de rien. 😉
> Le bon côté aussi, c’est qu’aussi bien Helmut que toi faisiez l’affaire… ça doit donner confiance…
Et le bon côté, surtout, c’est que maintenant tu sais que s’il arrive… je sais pas, disons… un accident à Helmut… éventuellement… genre, il tombe malencontreusement dans les escaliers… il se fait mordre une couille par un chat particulièrement malin… lol
Thom…
Stef : que ferait-on sans toi ?
Question : Nina t morte?
Thom > « Stef : que ferait-on sans toi ? » : des conneries, sans aucun doute. 😉
Gauthier > « Question : Nina t morte? » : tu parles! morte de fatigue oui! Ils sont en train de passer un WE crapuleux, ils doivent être tellement épuisé et vidé, tous les deux, qu’ils n’arrivent même plus à quitter le lit. 🙂
Parce qu’on en fait (dit) pas des conneries, peut-être, là ?
Vidés ? Lui, sans doute, mais que je sache, Nina a pas grand chose à vider…^^
Thom…^^
Baleze ! Un niveau de loose pareil c’en devient presque emouvant…
Un conseil quand meme pour conjurer un peu ta loose : quand t’as un RV important et une 1h20 de transport, pars pas 1h30 avant. Parce que 10 min de marge c ‘est un peu short (surtout avec la SNCF), la preuve.
La lutte contre la loose passe aussi par ca… 😀
Beurk Nina, t’es dégueulasse…
…
…
…alors comme ça, tu as tes ragnagnas ? lol
Thom… pfff^^
Ho ma ptite louloute…pas cool. Mais dis toi que l’échec rapproche la victoire. Et des entretiens tu n’en passeras pas qu’un… Moi je crois en toi d’abord! Pis ils n’y connaissent rien! moi je travaillerais dans la presse, c’est évident que je te prends direct! Pff les nuls!
Pis c’est fou que sur tous tes visiteurs, il n’y ai pas un autre mec qui puisse te pistonner!
Pourquoi tu mettrais pas tes références sur ton blog…aprés tout c’est trés courant now. Allez bisouilles et je veux un sourire!
T’as probablement beaucoup appris lors de cet épisode. Et tout d’abord qu’il faut toujours faire son cartable la veille d’aller à l’école, nan mais!!!! Sinon on oublie toujours quelque chose!