Les voies du net sont impénétrables. C’est hallucinant comme quelques mots tapés sur un clavier et balancés sur la toile peuvent nous rapprocher de parfaits inconnus. Réfléchissez au nombre de gens qui surfent sur le net, qui se croisent sur le même site sans se parler, souvent. Et parfois, au détour d’un forum, deux internautes se rencontrent, se dévoilent par mail ou par MSN avant de se voir pour de vrai…et plus si affinités ?
Premiers contacts
Récemment, très récemment, j’ai rencontré Raphaël via le net, il a lu mon blog et l’a adoré (normal, oserai-je dire avec humour). Après quelques mails échangés, voilà que l’on se fixe un rendez-vous. Cette perspective nous stimulant, les échanges mails se sont intensifiés. Il faut savoir que ce jeune homme m’écrit de son travail et ne peut pas se connecter sur MSN à ce moment-là. Le jour dit, on s’échange pas moins d’une quinzaine de messages en quatre heures (je me lève très tard en ce moment), on parle de pas mal de choses, surtout de sexe mais aussi de politique, de mon pseudo stage… Mais surtout de sexe. J’étais donc intriguée par ce rendez-vous, ne sachant absolument pas à quoi m’attendre.
Mercredi soir, 21h50, j’arrive au point de rendez-vous. J’allume ma cigarette d’attente (on a toujours l’air moins con quand on fume en attendant que quand on attend tout court)et là, petit texto de Raphaël : « j’aurai dix minutes de retard, désolé ». Normal, les hommes sont toujours en retard. Donc opération : j’ai 20 minutes d’attente, rien à lire, rien à écouter, occupons-nous. Je sors mon téléphone portable, je prends l’église en photo et m’amuse à nommer les clichés qui portaient les doux noms de « photo17 » et autre… Ensuite, j’ai appliqué ma stratégie ultime pour tromper mon impatience : compter. C’est idiot, je sais, mais ça occupe et ça évite que je regarde ma montre toutes les 30 secondes. Et je me pose des ultimatums : je n’allume pas de clope avant 500. Alors que j’avais dépassé le seuil fatidique et que je consommais ma deuxième cigarette, j’aperçois un grand gars en chemise blanche mais mon téléphone sonne et je n’y fais plus attention. En fait, le grand en blanc était effectivement Raphaël, il m’appelait pour vérifier que la petite qui poireautait devant l’église était bien la légendaire Nina. Il faut dire que nous n’avions pas échangé de photos donc je ne savais pas trop à qui m’attendre et vice-versa. Je savais qu’il était assez grand et qu’il avait les yeux clairs. Après, je ne sais pourquoi, je pensais qu’il était brun, raté. L’avantage quand on n’a pas la version photo, c’est qu’on ne peut pas être déçu par la version réelle (sauf quand le gars prétend ressembler à Brad Pitt et qu’il ressemble en vrai à Paul Preboist). Ce garçon est charmant, il me fait la bise, me regarde de la tête aux pieds et me fait : « toi, tu fais moins d’1m60 ! ». Forcément, quand on fait plus d’1m85, on peut se la ramener à ce sujet.
Et…hips…une bouteille de rhum !
Nous voilà parti dans un bar qui sert surtout du rhum et c’est parti pour une folle soirée de beuverie. Le courant passe bien, on discute très facilement de tout mais surtout de sexe. Mais j’ai un défaut : le son de ma voix augmente en même temps que mon taux d’alcoolémie… On se raconte des tas d’anecdotes croustillantes, on boit, on fume, je rigole comme une bossue (déjà sobre, je ris beaucoup, alors là…). Je ponctue pas mal de mes interventions par : « J’arrive pas à croire que je te raconte ça ! », les siennes sont ponctuées de « moinssss, moinssss…On est à Paris, on dit moins, pas moinsssss. Arrête de dire « c’est quelle heure », on dit : il est quelle heure ? » (je ne serai jamais une vraie Parisienne). Je ne sais pas trop comment va se terminer la soirée mais apparemment, je ne le laisse pas tout à fait indifférent. A un moment, je parle de coupe de cheveux (ce que je suis passionnante comme nana) et je me cambre en avant pour lui montrer jusqu’où je les avais avant, et il me gratifie d’un : « arrête où tu vas pas dormir de la nuit ! ». En effet, plus je suis ivre, plus je mets mes seins en avant, sans le faire exprès. Saoule, je commence à hurler mes phrases et alors que je gueule : « tu vois, quand je baise… », un monsieur qui était assis à une table s’est franchement retourné pour nous écouter, mort de rire. C’est le signe pour filer en courant. Il paye et nous voilà dehors, il est 1h30 ou 2h, je ne sais plus, nous voici donc sans transports en commun. Et là, Raphaël me fait : « on fait quoi, maintenant ? On va où ? » Invitation explicite à terminer la nuit ensemble. Je lui réponds, tout sourire : « Je te suis. » Et il décide qu’on va chez moi car, chez lui, « c’est le bordel »… Il va rire en voyant mon appartement : pour changer, j’ai des strings qui sèchent dans la salle de bain. On s’approche donc d’un taxi et mon futur compagnon de brouette me fait rire : « On va à…où t’habites, déjà ? ». Ça fait vraiment le mec qui vient de se lever une fille dans un bar. Bref, on prend ce taxi très confortable et nous voici chez moi.
Alors que je pensais qu’à peine arrivés, on allait consommer, je me suis rendue compte qu’avec Raphaël, les choses ne se déroulent pas comme avec les autres. Il me demande d’abord un verre d’eau puis, au lieu de me sauter dessus, il décide d’aller se doucher. Soit. En attendant, je bouquine, que faire d’autre ? Le voilà qui sort de la salle de bain, en slip, à mon tour de me toiletter. Ne sachant trop que faire, je décide d’enfiler mon pyjama, assez contraceptif, il faut le dire, mais lui est sorti en boxer, j’avais peur de le choquer en sortant nue… Bon, je sais très bien que Raphaël avait une expérience certaine en la matière mais tout de même…Et puis, j’aime bien l’étape de l’effeuillage.
Comiques galipettes
Je me glisse donc dans le lit à ses côtés, il me lance une pique ou deux sur mon pyjama, j’éteins la lumière…et nous voilà en train de… nous battre avec mes oreillers ! Il me prend de temps en temps dans ses bras, nos langues jouent un peu et c’est reparti pour quelques coups d’oreillers. J’avoue que c’était très amusant, je rigolais comme une tordue (d’autant que je rappelle à mon aimable lectorat que j’étais un peu saoule, encore). Au fur et à mesure, les oreillers finissent de ne plus faire partie de nos étreintes, tout comme mon pyjama et son slip. Je profite de l’étape préservatif pour rallumer un peu la lumière (vive les lampes halogènes). Tandis qu’il visite mon intimité, il mordille assez durement mon cou, me faisant découvrir une nouvelle source de plaisir… C’est rassurant de voir qu’à 25 ans, on a encore tellement à découvrir sur soi. Il a des cheveux un peu longs (enfin, tout est relatif) et très doux, j’aime bien passer mes doigts dedans. Tout se passe pour le mieux sauf que mon chat s’invite de temps en temps à la partie… En temps normal, elle me fout la paix dans ces moments-là mais pas ce soir-là, Raphaël a dû l’inspirer. Ainsi, à un moment, je sens un truc qui me râpe le bras…J’ai mis trente secondes à comprendre… Oui, dans ces moments-là, mon cerveau est un peu en dérangement.
Après notre coït enragé, il ôte le préservatif qu’il noue et commence à le poser par terre mais je proteste : hors de question de laisser ça là, mon chat serait foutu de jouer avec et de… je vous laisse imaginer. On commence à se chamailler et le voilà qui me flagelle avec la capote précitée, ce qui me fait énormément rire…C’est bien la première fois qu’on me fait un coup pareil… Il va enfin jeter le préservatif, j’en profite pour récupérer mon côté du lit, on règle le réveil et on essaie de dormir les 3h qu’il nous reste avant le bip-bip fatidique.
(Trop) peu de temps après, voici que mon réveil décide que la nuit est finie. Par habitude, je lui donne une tape pour qu’il se taise quelques minutes. Oui, le matin, je supporte pas le bruit donc le radio-réveil est prié de respecter le silence. On se love l’un contre l’autre et ce qui devait arriver arriva, nous voilà repartis pour une brouette hautement acrobatique. C’est marrant comme le matin, je ne suis en forme pour rien, sauf pour la bagatelle… Parler le matin, je suis pas capable mais jouer les amazones, c’est quand tu veux. Bref, on visite quelques positions tandis que le réveil sonne puis après un petit câlin post coït (il faut bien récupérer),le voici qui part à la douche. Voilà, il sera en retard, de toute façon. Avant de partir, il me fait un petit câlin pour me dire au revoir, je me sens minuscule dans ses bras mais c’est assez marrant.
Episode 2 : brouette afterwork
On continue de s’échanger des mails par la suite, le ton n’a pas changé, personne ne se la joue : « c’est quand qu’on se revoit pour vivre une belle histoire ? ». Et pourtant, on se revoit pour boire un verre en tout amitié, d’abord, puis pour une nouvelle brouette, ensuite, totalement improvisée. En fait, au cours de nos échanges habituels de mails, je lui révèle que mon camarade de brouette officiel m’a demandé de me raser une certaine partie de mon anatomie (je vous laisse deviner laquelle). Il me répond : « et tu l’as fait ? Si oui, j’ai plus envie de bosser, je passe te voir. » Je lui avoue que oui, je l’ai fait et je renvoie le mail. Pas de réponse. Soit, je me dis qu’il doit (enfin) avoir du travail, je ne me tracasse pas.
Soudain, mon téléphone sonne, je vois « Raphaël ». Je réponds, me demandant ce qu’il me voulait.
« Tu fais quoi, là ? me demanda-t-il.
– Heu… Je regarde la télé en pyjama (oui, ok, mon inactivité actuelle et ma passivité extrême sont dramatiques).
– Ok, t’as 5 mn pour prendre ta douche, j’arrive. »
Branle-bas de combat, je vire mon pyjama, je file sous la douche. A peine sortie, le téléphone sonne, je mets de l’eau partout. « T’habites où déjà ? Je retrouve pas. » Je lui explique, j’enfile vite fait des fringues et le voilà à ma porte. Je lui ouvre, on s’embrasse un peu puis on sort fumer. C’est marrant comme, en général, ce genre de relation commence de suite au lit et APRES, on discute, on boit, on fume. Lui, non, c’est le contraire. Pourquoi pas ?
Mais les amabilités, ça va cinq minutes, surtout que je devais sortir le soir-même donc nous voilà partis pour une nouvelle séance de sexe une fois de plus très agitée, mon lit (deux places, tout ce qu’il y a de plus normal) se révèle presque trop petit… Cette fois-ci, mon chat reste caché je ne sais où et on s’ébat tranquillement. Il a un petit jeu assez amusant, en fait : quand je l’embrasse, soudain, il joue à esquiver mes baisers, jusqu’à ce que j’arrête de tenter et, là, il me saute dessus pour me donner tous les baisers que je n’ai pas réussi à prendre.
En août, à Paris, il fait chaud, d’autant que j’avais fermé fenêtre et volets pour éviter aux passants d’entendre les doux sons de la brouette (il y a des enfants qui passent par là). Après nos jeux acrobatiques, le voilà qui se plaint d’avoir trop chaud et, alors qu’il comptait se doucher en ma compagnie, il trouve un objet merveilleux : le brumisateur. Il faut que tu saches, lecteur, que le brumisateur me sert essentiellement d’arme contre mon chat : quand elle est pas sage, un pschitttt ! Là, Raphaël a commencé à s’asperger puis il a trouvé très drôle de faire une bataille d’eau sur mon lit et je me suis retrouvée trempe en deux minutes (sans mauvais jeu de mots…). Suite à cette épique bataille que j’ai lamentablement perdu, n’ayant pas la moindre arme pour me défendre, il découvre ma console de jeu et nous voici à nous affronter à Mario Kart. Là, encore, j’ai lamentablement perdu mais ça fait longtemps que je sais que je suis nulle à ce jeu. Pourtant, j’avais mis mes lunettes…
Raphaël, c’est un partenaire de brouette haut en couleur, je crois que j’ai rarement ri autant au lit… On dit que faire rire une femme, c’est la mettre dans son lit. Lui, il la fait rire une fois dans son lit (quoi qu’il était très drôle avant, rassurons-nous).
Je crois que ne n’arriverais jamais à comprendre comment tu fais pour trouver et sortir avec autant de type en si peut de temp. 🙂
Nina : Honnêtement, Stef, moi non plus… Pourtant, je me suis effacée de meetic!! Plus ça va, plus je me dis que c’est lié à ma réputation! 😉 Ou alors à mes gros seins! :p
Moi ce que je me demande c’est que ressens t’on en se doutant que nos "aptitudes" vont être blogué lol… Est ce que tu aurais écris de mm si ca avait été catastrophique ? 🙂
Quand il y a un minimum de complicité et que ca se passe bien, c normal de sortir des petites blagues !
Nina : Je me pose la même question, Matt! 🙂 Je ne sais pas si je ferais des folies de mon corps avec un mec qui va raconter ça sur son blog! Mais bon, là, Raph’ a lu l’article et a dit : "je mets pas de slip, je mets des boxers!!!", erreur rectifiée.
Si ça avait été catastrophique…Je sais pas… Si Raph avait été mauvais et s’était comporté comme un goujat, l’article aurait été sanglant. S’il avait été mauvais et sympa? Je pense que j’aurais évité de m’extasier sur la brouette sans pour autant dire: "il est sympa mais il a pas compris l’utilité du pénis…"
Sinon, les petites blagues, j’aime bien, ahah! 😉
tout le début est intéressant, le coup du bar avec le mec qui se retourne, c’est un truc qui m’arrive souvent, de demander à une copine de parler moins fort, c’est à la fois rigolo et gênant.
Le coup du chat qui s’incruste, c’est pas mal.
Enfin le passage que je retiendrai et qui m’a fait très beaucoup rire : "Là, encore, j’ai lamentablement perdu mais ça fait longtemps que je sais que je suis nulle à ce jeu."
et tu ajoutes, argument NON NEGLIGEABLE : "Pourtant, j’avais mis mes lunettes.." = normalement avec mes lunettes, je suis la reine du kart 🙂
Nina : Merci pour tes compliments mais comme tout ça est vrai, j’ai pas trop de mérites!! :p
Pour Mario Kart, pour la petite histoire : en début d’année, on avait fait une soirée chez un camarade de promo qui avait la nintendo 64, je crois, et on a fait une partie de mario Kart, j’ai lamentablement perdu et j’ai prétexté de pas bien voir car je n’avais pas mes lunettes…Aujourd’hui, je me rends compte que c’est juste parce que je suis nulle…
"le voilà qui me flagelle avec la capote précitée" 🙂 Trop fort ce mec.
"il me saute dessus pour me donner tous les baisers que je n’ai pas réussi à prendre" Tu découvres ça maintenant? T’as quel âge?
J’aprécie la manière dont tu racontes tes ébats sexuels. Drôle, cru et class à la fois.
Nina : Non, Tom, je connaissais le truc du "baiser retenu" mais lui, c’est limite systématique, c’est son truc. C’était la flagellation à coup de capote, l’inédit ! 🙂
Merci pour tes compliments, j’avais l’impression d’être parfois trop évasive sur mes ébats… Mais bon, je me vois mal raconter : "et alors il me prit en levrette puis il me retourna et me voilà avec mon petit orteil dans la narine"… Je pense qu’il y a une limite à pas dépasser, surtout que je pense que le lecteur se fiche bien de savoir quelle(s) position(s) nous avons testées.
oui, c’est frais… je me demande qui c’est ce lecteur lol… je dirais bien K., mais bon… c’est mon imagination qui bosse 🙂
Nina : Dis, Fourmi, il t’obsèderait pas un peu K?? O_o Alors, si c’était K., d’une part, je l’aurais dit, vu que nous avons pas mal de lecteurs en commun. Si c’était K, il s’en serait vanté sur son propre blog, en plus! Remarque, ça aurait fait un super plan marketing, on aurait fait : la rencontre-les brouettes-les disputes-la séparation… Mieux que les Feux de l’amour!! O_o Tu sais, y a bcp de lecteurs qui postent pas, dont Raph’… Mais pit-être que le prochain, c’est un posteur régulier, qui sait!! 😀
En fait Raph c’est moi… Mais ça personne le sait !
Le coup des baisers retenus puis distribués, j’ai eu le même à la maison pendant 5 mois ^^
(Ah oui, je suis seule… définitivement. Ne t’qinuiète pas Nina, c’est ma décision)
Mais le coup de la capote on me l’a jamais fait !!
Il a de l’imagination ce garçon, c’est bien 🙂
J’espère que ça va continuer de façon bien sympathique pour toi Nina ^^
Bisous.
Nina : Je suis désolée pour ton histoire mais tu as l’air de le prendre bien. Toi, c’est officiel, va falloir qu’on se rencarde pour boire un verre (non, c’est pas pour des cochonneries, bande de pervers!). Tu sais, je t’aime bien et j’aimerais qu’il t’arrive des choses bien.
Sinon, ce garçon est super, oui! Je pense qu’il va devenir un très bon copain!
Trop cool ton article. Par contre contrairement à ce que tu dis on aimerait bien plus de détails croustillants sur les positions, la taille de son pénis, etc… 🙂
Nina : Mais je te demande la couleur de ton slip?? O_o Honnêtement, je mesure pas le pénis de mes camarades de brouette alors à moins qu’elle soit incroyablement grosse ou remarquablement minuscule (j’ai pas eu le 2e cas! :)), je me focalise pas dessus. Pi comme Raph’ passe par là, je me vois mal parler de son pénis! Quant aux positions testées, suis pas sûre de me souvenir de toutes, on a enchaîné! 😀
Punaise il faut que je me force pour écrire un commentaire. Parce que j’ai dit que je le ferais. mais tous ces textes sont vides et prodigieusement agaçants.
Des histoires de cul, quand elles ne sont ni très drôles ni très tristes, c’est d’un ennui achevé.
Mais tu ne parle même pas tant de sexe, contrairement à ce que tu crois, que de l’organe situé un peu plus haut, le nombril.
C’est vrai que c’est un organe moins odorant, moins dégoutant, plus rassurant.
Nina ; On perd un peu en spontanéité, là, mais c pas grave! 🙂 Bon, t’étais pas obligé de poster un comm’, on n’avait pas fait un troc, il me semble! 😉 Allez, je sais que tu n’en penses pas un mot et que tu me vénères comme les autres! Hihi! 😉
"on aimerait bien plus de détails croustillants" : je crois que ce serait une très mauvaise idée. On ferait moins travailler notre imaginaire. 🙂
Nina : Je crois qu’Erich me taquine, là, il ne veut pas savoir pour de vrai, ça pourrait le choquer! 😉
De Nina "Bon, t’étais pas obligé de poster un comm’, on n’avait pas fait un troc, il me semble! ;)"
Oh, pas question de troc. Ma méchanceté est purement gratuite. néanmoins les comms de mauvais alois sont les plus valorisants pour l’égo.
Je te laisse à ton sous-bridget Jones.
Nina : Quelque part, tu as raison, YanniG, je comprends ton raisonnement et le partage : la haine, c’est de l’amour inversé, je préfère déclencher des sentiments négatifs que de laisser les gens dans l’indifférence… Bref, on pourrait en débattre des heures. Moi, je suis plus forte de Bridget Jones, je me tape plus de mecs qu’elle (oki, suis plus jeune, mais bon…)
J’aimerais également plus de détails sur cette partie de jambe en l’air… les positions, la taille du sexe et sa forme (bras d’enfant, moignon, champignon, toute droitr comme un "i", bien tordu..).
Ca m’éclate de voir à quel point les sexes des mecs peuvent être différents sans parler de leurs testicules….c’est trop fort !!!!
Nina : Seigneur, Briana sur mon blog, je suis flattée, quand même! Tu es un peu un mythe pour moi, je l’avoue! J’espère qu’on aura l’occasion de se croiser hors blogs, à priori, oui…
Ben, les sexes des hommes sont différents, c’est normal, ils ont pas tous les mêmes yeux, oreilles, nez… Comme nous n’avons pas la même chatte non plus, d’ailleurs, Dieu merci. Pour en revenir à Raphaël, son sexe était… en parfait état de marche et je n’en dirai pas plus! :p Vous êtes branques!! 😀
Alors comme cela tu étais sur meetic, il serait intéressant de comparer nos expériences et de voir si on s’est tapé les mêmes mecs…lol
Nina : Ce serait bizarre, quand même!! O_o Puis t’es super belle, apparemment, ce serait vexant pour toi qu’on se soit tapés les mêmes! 😉 Mais on discutera du sujet à l’occasion, rassure-toi! 🙂
Coucou Nina, merci d’avoir laisse un petit commentaire dans mon petit Forum… J’aime beaucoup tes histoires, tu racontes ca si bien…encore lol. Pourrions nous echanger un lien dans nos blogs respectifs…je t’embrasse..sur les joues…hihi
Nina : Je vais aller voir ton blog plus sérieusement, je n’ai fait que le survoler. Le principe d’échanger des liens me paraît idiot, on linke un site si on l’aime, ce n’est pas un échange de bon procédé. Sur le forum d’OB, une nana m’a proposé de lier mon site à un présentant des photos de chaton…Tout à fait dans le ton de mon blog, effectivement!! 😀
Nina, sublime ton histoire avec Raphael !!! Un régal à lire !!! Merci pour ce beau moment !!!
Nina : Merci Olivier S! Mais il faut aussi remercier Raphael pour le beau moment qu’il m’a fait vivre, à moi! 🙂
"Nina : Je crois qu’Erich me taquine, là, il ne veut pas savoir pour de vrai, ça pourrait le choquer! ;)"
Que dalle, je veux vraiment tout savoir, je suis super curieux 🙂
Si un jour on se rencontre, tu verras vite qu’il n’y a pas grand chose qui me choque.
Briana, je confirme qu’elle est superbe et intéressante. En plus elle parle de cul tout le temps.
Nina : Erich, je connais ton score lamentable au test du pureté… Enfin, non, je sais que tu as fait + que K. qui a déjà le double de moi donc je sais que rien ne te choquera… Surtout qu’il n’y a rien de vraiment choquant à raconter, il ne m’a flagellé qu’avec une capote, pas avec un fouet clouté après m’avoir attachée avec une camisole en cuir qui laisse les fesses à l’air.
Briana, je VEUX la rencontrer!! Je sens qu’elle a le potentiel d’une futur super copine.
En fait je retrouve dans ce blog tout ce que je t’attend d’y trouver
1)textes bien écrits
2)volonté de bien faire
3)bon design
4)créativité et inspiration
Amitié
L.I.O.N.E.L
Nina : Que dire de plus que merci, je suis toute rouge! 🙂 Un comm’ comme ça, on en voudrait tous les jours! Bisous, L.I.O.N.E.L
Ouais, euh… tout pareil comme il a dit Lionel !
Sauf que… ce textes, il m’a fait encore plus rire que les autres ! C’est étrange, Nina, je crois que tu as une vie sexuelle passionnante, je comprends que tu aies envies de la partager avec nous ! lol
Thom…
Nina : Faut dire que le Raphaël est un partenaire de brouette très ludique. Si y en a bien un dont je devais parler, c’est lui! 😀