Ce qui est pratique avec les plans brouettes, c’est qu’on peut toujours les rappeler. Et comme dirait Océane : « Ça doit être un bon coup Nina pour qu’ils reviennent tous, comme ça ! » (elle l’a vraiment dit !)
Dimanche 9 octobre, 16h30 (à peu près). Voilà, je viens d’envoyer un texto pas sympa du tout à Arnaud, j’attends sa réponse. Une heure plus tard, aucune réaction. Soit. Puisque je suis dans mon week-end excès, un petit texto à Laurent pour lui proposer une soirée hautement pornographique mais il n’est pas disponible. C’est pas grave : quelques jours après, j’ai ma revanche.
Laurent, brèves retrouvailles
Tout commence le jeudi, un peu avant la « rupture » avec Arnaud. Je suis sur le net, je ne vais pas bien du tout : descente d’alcool, solitude, j’ai pleuré. Morne journée. Tout à coup, je vois Laurent qui se connecte, il vient me parler et me demande si je suis encore en couple. Je lui réponds la vérité : « je ne sais pas ». Etonné, il me demande de développer et je lui explique la situation. Charitable, il propose de venir me voir pour…hum… me consoler. Mais je n’ai pas envie de sexe, j’ai juste envie qu’on me foute la paix. Cependant, je note l’information. Il m’informe gentiment que son voyage en Afrique est reporté et, donc, si je veux le voir.
Dimanche, pas de nouvelles du Arnaud, je vais me consoler dans d’autres bras. Après quelques soucis logistiques, on décide de se voir le mercredi soir. Dans la journée, il me contacte par MSN pour me demander si on peut se voir chez moi plutôt que chez lui. Je lui rappelle gentiment qu’il a un chat et qu’il y est allergique (je sais, je ne fréquente que des allergiques au chat). « Pas de problème, je prendrai un cachet ! ». Bon, je lui explique comment venir, il m’appelle quand il arrive à ma gare pour que j’aille le chercher. En attendant, j’ai du ménage à faire ! Entre temps, il m’envoie un texto pour m’avertir qu’il va avoir une heure de retard. Très bien. Je trafique sur le net et, vers 23h30, intuition, je retourne sur MSN, mais je reste en hors ligne. Et là, qui vois-je connecté ? Laurent.
Ne nous énervons pas, il doit y avoir une explication cohérente. Alors que j’essaie d’en trouver une, MSN m’informe poliment que le jeune homme vient de m’envoyer un mail… Ah non, il va pas me faire le coup du lapin ! Un poil énervée, j’ouvre le message et là, je rigole : le pauvre Laurent est dans ma ville, dans un cybercafé (je ne savais même pas qu’il y en avait un). En fait, j’ai trouvé mon alter ego masculin en matière d’étourderie : il a oublié son portable chez lui et il panique car il ne sait pas comment me joindre. Du coup, je me mets en ligne le temps qu’on se mette d’accord : rendez-vous à la gare ! Bon, on se retrouve, il me donne un gentil baiser. Comme si ce mois et demi à ne pas se voir n’avait pas existé. Je le ramène chez moi, il prend son médicament et, après fait une gratouille à mon chat, le voilà qui glisse ses doigts dans mes cheveux.
Toujours aussi spontanée, je m’écrie :
« Hé, tu as vu ? J’ai changé de couleur de cheveux !
– Heu… C’est plus clair, non ?
– Mais non, je suis rousse, maintenant !
– Ah…euh…Je suis pas très fort sur ça. »
Bon, je me retiens de rire et on commence à s’embrasser. Il est vraiment très doué en la matière, c’est très doux. Bon, il est quand même très excité et m’entraîne très rapidement vers mon lit. Mes vêtements disparaissent assez vite, pareil pour les siens (je remarque qu’il a un T-shirt tâché, c’est pas glamour, ça). Il est toujours aussi doué avec ses doigts, ce garçon, j’aurais eu tort de me priver de cette extraordinaire séance de caresses. J’entreprends de lui rendre la pareille, il a l’air d’apprécier les retrouvailles. Le voilà la tête dans le vide, une capote à la main, visiblement peu pressé de l’enfiler. Bon, finalement, il se décide, merci bien !
Ça garçon a une particularité : il est incapable de jouir quand il a le dessus donc quand il me demande de changer de position, je comprends que la fin de la brouette est proche. Je ne me souviens vraiment pas qu’il ait joui sans que je le domine. Donc, je reprends le dessus et là, son visage se crispe et il m’informe poliment : « aaaaaaah, je jouis ! ». Ah, oui, c’est vrai ! Comme il jouit en silence, il le dit comme ça, je suis au courant. En même temps, vu sa tête, je l’aurais devinée toute seule.
Deux minutes de câlin post coïtal, le voilà qui part à la fenêtre pour fumer, on discute un peu : « alors, tu as fini ton rapport de stage ? » Tiens, je lui ai parlé de ça ? Bon, il me parle de sa mission en Afrique, moi de mon rapport et il commence à éternuer. Bon, ma Kenya, je l’adore mais ça commence à faire, là…Et là, il me fait : « dis, il part à quelle heure le dernier train ? » Bon, il ne passera donc pas la nuit ici. En même temps, vu comme il n’arrête pas de se moucher, je peux comprendre. Donc il entreprend de se rhabiller, je me contente de m’enrouler dans ma robe de chambre et, alors qu’il enfile ses chaussettes, il me demande : « on est bien le 13, là ?
– Heu oui.
– Moi, je pars le 25, ça veut dire qu’on a le temps de se revoir.
– Bah oui, moi, je suis libre comme l’air.
– Ah bon, tu cherches pas du travail ? »
Ce n’est pas précisément ce que je voulais dire… Bref, il m’embrasse, fait une gratouille à mon chat et s’en va.
Depuis…Ben rien. Je lui ai proposé de se voir un soir mais il n’était pas libre. Il part demain en Afrique donc je ne le verrai plus pendant un mois et demi. Je ne sais pas si je le reverrai un jour. Je ne désespère pas d’en faire un copain, à la longue, mais transformer un plan brouette en relation amicale, ce n’est pas si évident que ça.
Benoît, la preuve de ma naïveté
Vendredi, qui voilà sur MSN ? Benoît ! Il vient me parler et me demande si je suis toujours en couple. Non, répondis-je. Je lui retourne la question car durant quelques temps, son pseudo était accompagné d’une phrase sibylline : « moi, j’aime machine ». Ben, effectivement, machine était sa petite amie mais le revoilà célibataire. Bon, après hésitation, j’accepte de le revoir, on se fixe rendez-vous pour le lendemain, pendant sa pause à la piscine. Gauthier m’engueule gentiment par téléphone quand je lui annonce la nouvelle : « Moumour, 50 ans de lutte féminine te regardent ! ». Mais après tout, il est peut-être comme le vin, il s’est bonifié avec le temps. Déjà, sur MSN, il me demande ce que je veux qu’il me fasse, je lui sors trois platitudes sexuelles et le voilà tout émoustillé.
Samedi, après une nuit trop courte, je sors m’acheter des clopes et faire des courses, texto du Benoît : « si t’es chez toi, j’arrive, j’ai trop envie de [biiiiip, biiiiip] ». C’est un romantique, lui. Une demi-heure, trois quart d’heure plus tard, le voilà enfin chez moi. Il arrive et me fait la bise… Soit, ça doit faire trois mois qu’on s’est pas vus. On discute un peu de nos vies respectives, je ferme les volets (rez-de-chaussée oblige) et hop, c’est parti. Pendant que je l’embrasse, il plaque ma main sur son pénis en érection et là, je dois avouer que je suis bien peu impressionnée : au vu de l’appareil de mes derniers amants en date, le sien me paraît un peu petit. Il me jette littéralement sur le lit et vire ses fringues en un temps record, il s’attaque aux miennes. Nous voilà tous nus, il me dit des mot doux : « Oh, tu sais que tu m’excites, toi ! » Essayant de garder mon sérieux (non mais il se croit dans un film porno, lui ?), je lui réponds un placide : « bah, j’espère ! ». Je le caresse buccalement jusqu’à la jouissance car, avec Benoît, faut décharger le fusil une première fois car sinon, le coup part trop vite. Il va dans la salle de bain se rincer, il revient et me fait : « mince, il va falloir que je reparte. Si on recommence (dis plutôt commence tout court, chéri), on devra s’arrêter en plein milieu car je dois retourner bosser. Déjà que je suis arrivé en retard ce matin… Mais je te recontacte quand j’ai plus de temps.
– Oui, mais je pense pas que je suis très disponible car je vis une histoire compliquée (tu verras ça plus tard, lecteur).
– Ah… Bon, je te tiens au courant. »
On se rhabille (je me demande bien pourquoi je m’étais déshabillée, moi), je le raccompagne à la porte et là…il me fait la bise !
Je ferme la porte, mon chat sous le bras et je secoue la tête, effarée : mais comment ai-je pu croire que ce connard de classe mondiale ait pu changer en deux ou trois mois ? Pour le coup, je m’en veux : j’ai été trop conne. Pourquoi j’ai accepté ? Parce que j’avais envie d’une brouette, tout simplement. Les hormones, ça n’a pas toujours du bon, des fois. Dégoûtée et un poil agacée, j’appelle Gauthier.
« Alors ma coquinette velue, et ta brouette ?
– Je viens de me faire baiser mais pas comme j’aurais voulu, tu vois ! »
Gauthier est effaré. Comme il dit : « il y en a qui ne doutent de rien ». Moi, j’ai une certitude : ce gars-là ne foutra plus JAMAIS les pieds chez moi. Je le laisse sur MSN, juste pour le plaisir de lui dire un jouissif non la prochaine fois et je le dégagerai de ma vie définitivement.
En attendant, douce, bête et amusante vengeance : le soir-même, Gauthier et Banana un peu complètement saouls lui ont passé un petit coup de fil (mais comment ont-ils eu le numéro ? Je crois que j’avais laissé traîner mon portable, oups !). Gauthier, de sa voix sexy, lui demandait s’il voulait avoir un orgasme avec un homme, tape un (un, gémit Banana) ou avec une femme, tape deux (deux !). Comme on était très saouls, on a appelé avec le portable de la miss mais elle a un peu omis de masquer son numéro ! Je ne sais pas s’il l’a rappelée, elle ne m’en a pas parlé. Au moins, j’aurais eu un petit instant de jouissance grâce à lui !
Juste un détail puisque tu parles de brouette. Te souviens-tu, chère Nina, du grand n’importe quoi que fût ma première soirée parisienne, en la compagnie de Gautier et de toi-même??? Du resto, des cocktails (OH OUI LES COCKTAILS!!!), du desespoir de Gautier qui avait cours le lendemain matin et qui avait 2 pintades dans son lit en train de glousser allègrement devant Samantha…??? De ton incroyable capacité à sortir le mot " anulingus" en plein resto pile au moment où la musique s’arrête??? Oui, c’est bien de cette soirée là dont je parle, une de plus à rajouter à la longue liste de nos signes extérieurs de décadence. bref, ce soir-là tu m’as prédis des trucs. ET BEN J’AI PAS BROUETTE DU TOUT!!! Par contre, j’ai passé une super soirée et j’ai eu droit à un baiser (frustrant au possible mais tellement romantique…) Donc, je tenais quand même à te remercier pour ta prédiction… euh, optimiste!!! Bisous, à bientôt à Paris (I"ll be back!) ou sur le blog
Nina : Je le savais, Gauthier me l’avait dit… 😉 De toute façon, toi, tu vas devenir une vingtenaire, j’ai décidé! :p
Pour Benoît, je ne vois effectivement que les hormones comme explication, parce que tu avais déjà eu plusieurs avertissements, non ?
Ah lalalala !
Nina : Ouais, mais je pensais pas qu’il ferait pire… Comme j’ai eu tort!! Donc il dégage de ma vie, point.
Il n’a pas (encore) rappelé, mais je te tiens au courant s’il le fait! Ah ah ah ce serait trop marrant!
Nina : S’il rappelle, file-lui un rencard et n’y va pas, ça lui fera les pieds! 😉
BWA HA HA HA HA. Tu n’as pas honte? c’est incroyable ce que les femmes peuvent etre bonnes et retomber dans le paneau… heureusement quelque part sinon … Ce qui me fait penser a ce petit dicton qui dit que les hommes sont trop cons pour diriger le monde mais que les femmes sont trop connes pour se rendre compte qu’elles pourraient le faire.
Bon je vais relire du guitry moi. ;-p
Nina : Mon problème, c’est que je n’arrive plus à être rancunière (je l’étais, jeune), j’oublie tout, je donne toujours une nouvelle chance. Bah, là, il n’y aura pas de nouvelle chance, même si c’est le dernier homme sur terre!
decidement ces deux là, ils font ecraser des touches (c’est comme faire couler de l’encre, mais pour un clavier !)
pourtant dans l’episode :"sucer n’est pas tromper" tu ne les avais pas menagé…
ils ont trouvé un bon filon on dirait, tu risques d’avoir du mal a te debarrasser de Benoit
bon et pourquoi pas un peu de nouveauté au lieu de rechauffer ces coups surtout Benoit qui n’est manifestement pas l’affaire du siecle, ni de la semaine …
Nina : Bah, Laurent, je l’aime bien quand même. Bon, après, je sais pas si je le reverrai un jour, j’aimerais bien garder contact amicalement avec lui mais rien n’est moins sûr.
Quant à Benoît, ça va pas être dur de s’en débarrasser, t’inquiète pas. Il va comprendre que je suis pas sa pute. Sinon de la nouveauté, suis le blog, ça va viendre! 😉
Quel tact ce Benoit, mm un acteur porno est plus romantique !
Dans le cadre d’une étude théorique, oserais-je te demander quelle est ta moyenne de partenaires de brouette à un moment T donné ?
Nina : C’est quand ton moment T? Parce que ça varie beaucoup d’un mois à l’autre! 😉
Quant à Benoît, qu’il me demande plus de lui envoyer une copine célibataire… 😉
OUARF OUARF OUARF!!
Mais tu les cherches, ou ils viennent tous seul à toi??? Non, sans dec’ , tu crois pas qu’une mini-selection avant brouette s’impose… au moins, ne retiens que ceux qui te donnent du plaisir, t’auras au moins gagné ça!! A moins que…
Nina : Ce sont eux qui sont revenus, je ne les ai pas relancés. De toute façon, là, de mes anciens partenaires de brouettes référencés ici, il n’y en a plus un de "brouettable" : entre les connards, ceux qui vivent loin et ceux qui sont amis avec mon ex… Ben voilà! 😉
"je ne fréquente que des allergiques au chat" : oui, c’est currieux. Je ne pensais pas qu’il pouvait avoir autant de personne allergique au chat dans un même entourage d’une seul personne. 🙂
Nina : Moi non plus! Ca me saoule quand même! Selon Gauthier, la pollution tuant la plupart des allergènes, il ne reste que celui-là.
"il panique car il ne sait pas comment me joindre" : pourquoi n’est il pas venu chez toi directement? puisque qu’il avait rendez vous.
Nina : Il ne savait pas exactement où j’habitais, bien que ce soit très facile d’aller de la gare à chez moi.
"Je suis pas très fort sur ça" : (rire) c’est le moins qu’on puisse dire. Avoir du mal à voir une différence de nuance dans une même couleur, ok, mais quand on change radicalement de couleur, c’est quand même fort, en effet, de ne pas le voir. 🙂
Nina : Ca m’a fait trop rire, en fait!
"Deux minutes de câlin" : c’est un peu court, il était si pressé que çà?
Nina : Oui, c’était tard.
"fait une gratouille à mon chat" : malgrè son allergie? je croyais qu’il devait éviter tout contacte.
Nina : Oui mais Kenya est trop belle, on n’y résiste pas!
"transformer un plan brouette en relation amicale, ce n’est pas si évident que ça" : c’est possible uniquement s’il n’y a plus d’attirance sexuelle entre les deux, je pense.
Nina : Ouais mais le fait d’avoir brouetté, ça désamorce toute tentation sexuelle, vu que c’est déjà consommé.
"car je dois retourner bosser" : j’ai l’impression que tu te vais plus de mal qu’autre chose à voir des types comme lui.
Nina : Non mais je le fréquenterai plus, lui! :p Je me fais pas de mal dans la mesure où je ne suis pas amoureuse de lui (Dieu merci), c’est plus un pincement à mon ego qu’autre chose.
Nina > "C’est quand ton moment T? Parce que ça varie beaucoup d’un mois à l’autre! ;)" > Humm disons une moyenne mensuelle de cette année fiscale !
Nina : Je sais pas comment ça commence l’année fiscale… Bon, on va faire l’année normale.
Janvier à Avril :0
Mai : 2
Juin : 1
Juillet : 2
Août : 3
Septembre :1
Octobre : 4
Ca fait 1,3 partenaire de brouette par mois 😉
4 en octobre… et le mois n’est pas encore fini… maintenant combien de vraies nouveautés ?
Nina : 2, j’en ai pas encore parlé, ça viendra… Et très bientôt, même! (bon, y en a un , je l’ai compté alors qu’il ne sait encore rien passé mais…
Tu me fais vraiment marrer avec tes plans foireux Nina !! J’espère que de tps en tps en tu en trouves un cool !
Bonne continuation pour le blog
Nina : Ben, pour le moment, j’ai l’impression d’être surtout tombée sur des connards mais j’ai confiance en l’avenir! 😉
" Sinon de la nouveauté, suis le blog, ça va viendre! ;)" : je sais pas pourquoi, mais j’en etais sur !!
pour ce qui est de suivre le blog, t’inquietes pas je suis assidut !
Nina : Y a intérêt à suivre sinon, on comprend plus rien! 🙂 Bah, vu mes camarades de brouettes passés, il était temps que j’aille voir ailleurs! 🙂
Mauvaise pioche pour l’instant mais le bon jardinier viendra
Nina : Ahahahahah! 😉 Oui, je le sais, je me fais pas de soucis à ce niveau-là, franchement!
Va falloir que tu repartes en chasse, parce que tes fréquentations brouettiques m’ont l’air un peu "just" , voire "Booff"!
*voix caverneuse*
"je vois une inscription sur un grand site de rencontre … attendez, un nom apparait…. M………eetic!!
😉
Nina : Non, je n’ai pas très envie de retourner sur meetic, honnêtement. J’ai fait des rencontres très intéressantes depuis que je n’y suis plus, comme quoi… Mais je ne sais pa si je ne vais pas reposer mes armes de chasseuse bientôt, on verra.
AHAHAHAHAHAH j’avais oublié le coup de fil à l’autre tachon, putain qu’on était chiffon comme dit Banana, je me souviens de rien… la teu-hon!!!!
Ma frisée, dépeche toi de revenir, j’en é marre de passer mes soirée en tête à tête avec Nina comme un vieux couple, ce soir on a causé relations internationales et acculturation religieuse à l’hippopo, ça fait peur, au moins avec toi on boit 😉
bisous les gens.
Nina : Oh, pépé, ça va, hein?? Qui c’est qui a passé la journée à garder ton appart en attendant que le monsieur du câble qui était censé passer entre 15 et 18h et qui est arrivé à 18h30 arrive??? Moi aussi, je t’aime.
Quel classe, quel talent ce Benoît! Et dire que j’aurai pu mal tourner et finir comme ça… Heureusement, les choses changent, et les gens aussi!
Ton histoire avec Laurent me parait quand même moins malsaine! Certes il vient, il te brouette, et il repart, mais, au fond, c’est ce que tu cherchais non? Et si tu avais vraiment voulu le retenir, tu aurais su t’y prendre je pense?!
Après tout, il n’y a pas de mal à se faire du bien, en attendant de trouver le bon…
Sinon, je me répête peut-être, mais j’aime bcp ton/votre blog 😉
Nina : Ben, il travaille à côté de chez lui, Laurent, normal qu’il ait voulu rentrer chez lui. Sinon, si on avait été chez lui, on aurait passé la nuit ensemble. En plus, il est allergique aux chats alors…
Pour Benoît, poubelle! 🙂
Je crois que des histoire comme ca j’en ai pas lue beaucoup.
il va falloir que je m’attard sur ce blig.
Mais ce @*&^#* de boulot m’en empeche
Nina : J’aimerais savoir combien de personnes lisent des blogs au boulot et le manque à gagner que ça représente… Mince, je contribue à la ruine de la France! :p
Quelque part, ça m’horripile de savoir que tant de filles vivent des plans loose! Les hommes, c’est pas des mecs biens ! 😉
Mouarf, Sex & the city version French…
Je ne sais pas si c’est de la vraie vie, mais cela me rappel mes années facs…
JC l’Papy tombé par hasard sur Ni… Oupss… Non… Sur le blog de Nina… 🙂
Nina : Ah mais faut pas me tomber dessus, je suis fragile! :p
Oui, tout ça, c’est la vraie vie… Des plans loose pareil, c’est pas possible de les inventer ! 😉
Ouais, c’est bien la Loose ici, mais en même temps… c’est le thème du blog non ?
On est pas sur "Les Vingtenaires, nos liaisons idyliques et nos coups dans le derrière les plus vigoureux et en plus on en redemande" !!
Par contre, hésite pas si possible à mettre des liens depuis les noms des brouettés et tes anciens articles, parce que si j’ai un défaut, c’est bien celui-là : j’oublie toujours les prénoms des gens (non, pas le tiens mdr) !
Par contre, t’as pas précisé si la brouette avec Laurent t’avais plu lol T’as dit que c’était un peu court, ok, mais pas si celle-là avait été constructive lol
T’as taillé une pipe à Benoit en espèrant repartir en brouette après ? Sans vouloir le défendre (loin de là !), t’as pas un peu joué avec le feu là ? Parce que moi, une fois que j’ai jouie, pour me relancer dans l’ambiance… bien entendu, peut-être voulais-tu te relancer dans une brouette plusieurs heures après ? Dans ce cas, oublie, j’ai rien dit lol
J’espère au moins que t’as apprecié la brouette que je t’ai fait vivre par procuration lol
Thom… brouettera sans doute pas ce soir, car il est fatigué lol
ps : Cathy a encore du mal avec "Brouetter" lol Ca lui fait penser à "Broutter" aussi lol
Nina : Ouais mais, là, les connards, je les cumule, quand même.
D’habitude, je mets les liens, là, j’avais oublié, je vais les mettre. Avec Laurent, la brouette a été très sympa, oui, j’ai eu mon compte! 😉 La différence entre Laurent et Benoît, c’est que le premier s’est aussi occupé de moi.
Benoît, il repart très vite pour un second round donc j’espérais bien une suite… Si j’avais su, je lui aurais pas ouvert. C’est pas que je sois égoïste mais une fellation et basta,c’est un peu frustrant pour moi, quand même.
Nina, brouette pas ce soir et ça la rassure de voir que c’est pas la seule! 😉
…/…
>>JC l’Papy tombé par hasard sur Ni…
>>Oupss… Non… Sur le blog de Nina… 🙂
>Nina : Ah mais faut pas me tomber
>dessus, je suis fragile! :p
On ne dirait pas, mais c’est suremùent cela les jeunes d’aujourd’hui. On sont les jeunes femmes tendres et romantiques de ma prime jeunesse, dont il fallait "brouetter" fleurette avant de brouetter le corps… Snif… 🙂
Nina : Non mais attends, tout le monde ne gagne pas le droit de partager ma couche, quand même. Benoît, au départ, je m’étais pas rendue compte que c’était un connard.
>Oui, tout ça, c’est la vraie vie… Des
>plans loose pareil, c’est pas
>possible de les inventer ! 😉
C’est dingue, même si cela me rappelle la fac, j’ai toujours eu du mal à imaginer que cela pouvait être la vraie vie…
Je pense revenir sur d’autres commentaires car ton blog, exhibitionniste, montre quand même un talent certain, arf…
Nina : Merci bien! 😉
JC_Pas_Coït_d’1h30’_sinon_c’est_autre_chose…:-))) Plutôt_multi_bolobolo_dans_sa_jeunesse_mouarf…
PS : pas facile l’outil de commentaire, c’est presque un remede contre les commentaires !
Pfffffffffffffff 🙁
Nina : Ca bugge assez souvent…